Les Echos Athois

Il est vrai que le CPAS d’Ath rencontre ce genre de situation un peu tous les jours et satisfaire aux demandes de tout un chacun n’est pas possible comme tente de nous l’expliquer le Président du CPAS d’Ath Bruno Montanari «. Nous tentons de trouver une solution à ce problème malgré le fait que avons déjà trouvé plusieurs maisons pour Mme Picron, mais ces logements ne lui convenaient pas pour des raisons privées. Il faut savoir que notre service social fait le maximum pour cette dame et cela devient difficile. Il faut savoir que la situation de Mme Picron n’est pas un cas isolé, nous traitons chaque jour des cas similaires. » Et Bruno Montanari de continuer «  Nous devons faire face à de plus en plus de demandes de logements sociaux. Les familles qui ont des revenus modestes ont de plus en plus de mal à pouvoir acquérir une maison. ». Il est vrai que les CPAS survivent plus qu’ils ne vivent mais est-ce une raison pour laisser les gens à la rue ou dans le désarroi le plus complet ? Car la situation que vit Mme Picron est quelque chose qui peut arriver à tout le monde. Alors on fait quoi ? La balle est dans le camp des politiques et espérons que le bon sens retrouvera ses droits.