Suite aux licenciements, le groupe FORUM a réagit via un communiqué. Voici quelques morceaux choisis. " Nous tenons d’ailleurs à réitérer notre soutien au personnel communal durement mis à contribution (suspension de la prime de fin d’année, licenciements, charge de travail accrue,…).  Le groupe FORUM est choqué par les pressions subies par certains, l’arbitraire du choix des personnes licenciées et conteste les évaluations sur base desquelles se sont faits les licenciements et dont la qualité a été remise en question par Marc Duvivier lui-même sur No Télé ! Le budget prévoit aussi le non-renouvellement des CDD et le non-remplacement des départs à la retraite ce qui aura des répercussions sur les services rendus à la population. Il est également indispensable de doter le personnel communal  d’un cadre et d’un organigramme qui seront d’excellents outils de motivation dans le cadre d’une gestion qui fera enfin confiance aux personnes.Enfin, certaines mesures vont avoir des conséquences graves pour nos familles et notre quotidien. Ainsi, la fermeture de maisons d’enfants entraînera la diminution de fréquentation et puis la fermeture des écoles dans certains villages. Les clubs sportifs et mouvements culturels vont aussi être touchés. Le service rendu à la population sera réduit… En parallèle de toutes ces mesures, le groupe FORUM tient à faire remarquer que PS et MR ont créé de nouvelles dépenses « de prestige » pour près de 100 000 euros (consultance en urbanisme, audit commercial, campagne « anti-déchets »,…). Autant de missions qui auraient pu être assurées par le personnel en place et ainsi limiter les licenciements. Depuis son retour( le bourgmestre Marc Duvivier) à son poste en 2010, il a sciemment encouragé les dépenses : engagement de 60 équivalents temps plein, renouvellement du parc automobile,… Rien n’était trop beau en prévision des élections d’octobre 2012 ! Evidemment, une telle gestion oblige à présent à prendre des mesures d’économies drastiques. Le MR et le PS s’attaquent en priorité dans ce budget à l’humain plutôt qu’au matériel. Ainsi, on privilégie la rage taxatoire et les licenciements tout en refusant de céder une partie du patrimoine (restaurant, café, commerces,…) totalement inutile pour les Athois ou revoir à la hausse les loyers de certains biens communaux.