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L’école de gymnastique rythmique présente un grand spectacle pour ses 10 ans d’existence

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danse, gym, ASA

Dans quelques heures, quelque 170 gymnastes se produiront sur les planches de la salle Georges Roland (Ath) à l’occasion du 10e anniversaire de la création du club de gymnastique rythmique synchronisée. En l’espace d’une décennie, cette section de l’ASA a connu un essor fulgurant.

Ayant démarré avec une quinzaine de jeunes filles, la seule école de Wallonie picarde à dispenser des cours de GRS en compte aujourd’hui près de 200 provenant de la cité des Géants mais aussi des villes environnantes !

Âgées de 5 à 20 ans, les adeptes de cette discipline désormais olympique mariant la danse et la gym sont entraînées par Pascale Gourdin et ses deux filles, lesquelles ont pratiqué la GRS à un très haut niveau de compétition et inscrit leur nom au palmarès du championnat du Hainaut, avant d’épauler leur maman dans la formation des jeunes.

“En voyant ce qu’Audrey et Elise étaient capables de faire avec un ballon et un cerceau à l’époque où elles s’entraînaient 25 heures par semaine, les enfants sont restés en extase et ont pris goût à la pratique de la GRS”, se souvient Pascale.

À Ath, les gymnastes les plus douées perfectionnent leur souplesse, la technique et le travail corporel à raison de trois heures et demie de cours hebdomadaires. Voilà deux ans que la famille Fourdin prépare son spectacle le plus ambitieux à ce jour pour marquer les 10 ans d’existence de l’école de GRS. “Cette fois, je voulais un fil conducteur et non plus des petits numéros qui s’enchaînent sans aucune suite. Le Prince de la Lune est une histoire que j’ai écrite et mise en musique avec le concours de plusieurs parents”, insiste Pascale.

Pour rythmer les danses, notre interlocutrice a puisé dans le répertoire musical des cinq continents. Tous les costumes des gymnastes ont été confectionnés pas ses soins. Quant aux décors, c’est son mari qui s’est chargé de les réaliser.

Chez les Fourdin, la gymnastique est une passion dévorante pour laquelle les sacrifices et le bénévolat n’ont pas de limite. “Ce qui me stimule, c’est de voir les enfants s’épanouir sous le regard admiratif de leurs parents.”

S’adressant à un public féminin, la GRS a dérogé à la règle sur les bords de la Dendre en intégrant voici un an un jeune garçon, paraît-il très assidu, et que les spectateurs pourront découvrir lors des trois représentations programmées ce vendredi soir (19 h 30), samedi (19 h) et dimanche (16 h).

 

 

 

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