L’Opus Dei serait partout au sein des élites, puissant, Église dans l’Église selon certains ,antimoderne, dominant. Quid ? Sa structure est méconnue, tout comme son pouvoir réel ; il se ramifie presque partout dans le monde (France, Belgique, Suisse, Canada…).
Dans certains pays, l’Opus est une secte. Au départ, fin des années 20, on parlait de « pieuse union » dans un contexte espagnol particulier. « L’œuvre de Dieu », proche de milieux très conservateurs nantis, s’étendit et devint une Prélature personnelle du pape sous Jean-Paul II en 1982..
L’évolution de l’Opus Déi suscite des questions et a imposé une nouvelle stratégie de communication Pourquoi ?
Son « fondateur » Josémaria Escriva de Balaguer, auteur du livre de chevet des membres, « Chemin », a-t-il créé une « sainte mafia » catholique, une secte, une Franc-Maçonnerie blanche, l’outil d’un chemin de sainteté ou une garde blanche du pape ? Les membres de l’Opus Déi vouent à saint Escriva une admiration sans bornes.
Philippe Liénard, juriste formé à l’Université Libre de Bruxelles, devint avocat en droit des affaires, et le fut pendant plus de trente ans ; il fut aussi nommé magistrat suppléant au tribunal de première instance depuis 1995, et, curateur auprès du tribunal de commerce. Il s’est réorienté vers l’écriture il y a plusieurs années et plus récemment vers l’édition.
Infos
Une conférence très intéressante qui sera présentée au Palace, le mardi 11 février à 14 h 30.
Renseignements 068/68.19.99 - utd@mcath.be-
Prix pour non-abonnés : 7,50
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