Grand-Prix Jules Simoulin: Isières crée la surprise et élimine Maubeuge
Ce lundi se tenait le tournoi Jules Simoulin et on peut dire que le public a répondu présent. En effet plus de 500 personnes garnissaient le ballodrome. Il est vrai que la météo a été plus que généreuse pour ce grand-prix qui ouvre si l’on peut dire la saison ballante. Retrouvez toutes les photos du tournoi Isièrois en cliquant ici
Est-ce dû à la présence des locaux que la foule avait tenu à être présente et elle n’a pas dû la regretter. Isières allait créer la surprise de 42e tournoi. Malgré un début hésitant, les Athois redresseront la barque comme l’explique le pelotari d’Isières Renaud Raguet « Il est vrai que nous étions envahis par le stress, sans doute le fait de jouer contre les plus grands et nous commettions trop d’erreurs surtout la frappe. » Il est vrai qu’à ce moment Isières était mené 1-3 et même 5-3. Renaud de poursuivre « Par la suite, nous nous sommes dit que nous étions capable de rivaliser avec les meilleurs et au fur à mesure que nous emballions les jeux on s’est dit pourquoi pas » Malgré tout Isières sera même mené 4-6.
On peut dire que le déclic s’est fait à cet instant de la lutte comme le souligne Renaud « Il est vrai que nous avons mieux joué dans le jeu et nous avons cru en notre chance pour revenir à 6 partout et finalement nous imposer sur le score de 7-6 ». Il est vrai que la réussite a accompagné Isières mais comme tous les sportifs vous le diront, la chance il faut aussi aller la chercher et Isières la même provoqué. Une belle victoire des Athois. La 2e lutte mettait à la prise RCC Charleroi face à l’équipe championne de Belgique Kerksken. On peut dire que les flandriens n’ont pas eu grand mal à se défaire des carolos puisque la bande à Sam Brassart a toujours mené au score. Les jeux ont été 4-1,5-3 et 7-4.On se dirigeait vers une finale inédite entre Isières et Kerksken. Une finale qui a été fort logiquement emportée par Kerksken sur le score de 7-2 mais Isières n’a pas à rougir face à une tel armada comme le dit Olivier Auglaire membre de du comité Isièrois « On peut être très fier de notre équipe, elle a fait des superbes prestations face à deux ténors du sport ballant. Contre Kerksken nous n’avons pas démérité que du contraire. Il faut avouer aussi que le week-end a été chargé pour notre formation qui avec ce tournoi à jouer quatre luttes en trois jours. ».
Il est vrai qu’en fin de lutte contre Kerlsken, les Athois ont manqué de fraicheur. De toute manière, le tournoi a été très réussi pour les jeunes d’Isières qui ont montré qu’ils avaient l’avenir entre leurs mains !Les résultats: Isières-Maubeuge 7-6. Kerksken-RCC Charleroi 7-4. La finale: Isières-Kerksken 2-7
Ath a été envahi par les Romains...
Retrouvez toutes les photos du très beau spectacle qui s'est déroulé à l'Esplanade ce dimanche ici ou dans notre album " Les Romains débarquent à Ath..." Ces quelques soldats n'auraient pas été de trop pour la rixe de ce samedi sur la Grand-Place à Ath. Une rixe sur la Grand-Place.Pour beaucoup la soirée de samedi aurait été si on peut dire une sorte d’assaut final. En effet, durant toute la semaine beaucoup de tension régnait au sein de la Grand-Place. La veille c'est-à-dire le vendredi soir un athois avait reçu un coup de tournevis dans le cou. On se doutait bien que ce coup n’allait pas en rester là.Le samedi soir vers 22h30 les échauffourées ont débuté comme nous l’explique un patron d’un estaminet de la Grand-Place : « Il y a quelques années, le mardi de ducasse avait généré une grosse bagarre. Mais cette fois ci c’est presque un assaut. Il est vrai que la veille un Athois avait été sérieusement blessé et ce que beaucoup de cafetiers redoutés c’est bien passé ce samedi c'est-à-dire un règlement de compte ». Et celui-ci de continuer : « On peut dire que cette bande reprenait plus ou moins septante personnes. Par ailleurs, on notait une certaine panique chez nos clients où même des femmes et des enfants criaient de peur.» Des personnes parlent même d’avoir entendu des coups de feu ce que ne confirme pas notre interlocuteur. « Pour ma part je n’ai pas entendu de coups de feu mais tout ce que je peux dire est que j’ai vu beaucoup de ce groupe armés d’armes blanches. De plus j’en ai retrouvé une près d’une de mes poubelles et je peux vous dire que celle-ci était fort impressionnante. Elle ressemblait fort à un énorme couteau de boucher ».
A 23h bon nombre de cafés de la Grand-Place avait porte close et volets baissés tellement la peur y régnait. On parle même qu’un policier aurait été blessé. « Alors que nous croyons qu’une accalmie allait se déroulait le même groupe se déchainait de nouveau vers minuit trente. Quelques instants plus tard la police fédérale descendait avec plusieurs combis. » On le voit ce samedi soir sur la Grand-Place il ne faisait pas bon de se promener et dire que dans trois semaines on va fêter les cents jours de la ducasse d’Ath. Espérons que d’ici là le calme sera revenu.
Ducasse d’Ath : Rondeau ou pas ?
Alors que l’emplacement du Parvis de St Julien ne fait (pas du tout)l’unanimité,pour le rondeau finalde cette année,on effectue un petit sondage. Pour ou contre le maintien du rondeau?
Devrait-on maintenir le rondeau devant l'église St Julien?
Pour vous quel est le meilleur endroit qui permettrait
aux géants de danser?Alors tous à vos clavier et votez
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anonymes!
Ath: le chirurgien accro aux analgésiques détournait des cartes Sis
Le chirurgien urologue, détournait des cartes Sis et des ordonnances. Poursuivi devant le tribunal correctionnel de Tournai, il a bénéficié de la suspension du prononcé, en raison de son passé. Originaire d’Iran, le médecin y avait été torturé. Le juge a pris en compte les circonstances particulières qui ont amené Kiyana, un chirurgien urologue renommé, né en Iran en 1968, à détourner des cartes Sis et des ordonnances pour se procurer de la dolantine, un analgésique narcotique dont il ne pouvait se passer.
Le médecin, installé à Ath, avait agi de la sorte entre le 1er juillet 2007 et le 20 mars 2009. “ J’avais des douleurs physiques insupportables au niveau des cervicales ”, avait-il précisé au tribunal. “ Pour lutter contre cette douleur, j’ai pris légalement de la dolantine pendant plusieurs mois avant de me résoudre à subir une opération chirurgicale qui a mis fin à ce problème. C’est alors que je me suis rendu compte que je ne pouvais plus me passer de ce médicament ”.
Torturé en Iran. Un “ burn out ” s’était ajouté aux problèmes du chirurgien qui n’est d’ailleurs pas n’importe qui. Avant d’obtenir l’asile politique en Belgique, les autorités iraniennes, mises au courant de sa volonté de fuir le pays, l’avaient incarcéré avant de le soumettre à la torture. Dents cassées, sternum enfoncé, il avait même dû endurer deux fausses exécutions. Mais de brillantes études l’ont amené plus tard à diriger les principaux services d’Urologie en Belgique. Après avoir été écarté de l’exercice de la médecine, il a retrouvé aujourd’hui ses droits auprès de l’ordre des médecins français et dirige un service moderne d’urologie qu’il a développé dans le nord de la France. Autant d’éléments dont le tribunal a tenu compte, en décidant la suspension du prononcé. Souce www.nordeclair.be
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