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Ath & Conseil communal: la coalition violette chante: Athois je te plumerai.

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Img_0663.jpgEn ce week-end Pascal, il n’a pas eu de miracles au conseil communal que du contraire on parlera plutôt d’une crucifixion, budgétaire mais pas sûr, que le chemin de croix pour les Athois est terminé. Ce vendredi saint, la majorité PS-MR passait le budget 2013 au crible et pas de doute qu’il laissera des traces aux Athois  mais pour la coalition violette, il n’avait pas d’autres choix comme l’a expliqué le Président du CPAS qui a aussi les finances dans ses attributions Christophe Degand « Il était urgent de prendre des mesures structurelles pour tendre vers l'équilibre. Plus on attend plus ces mesures seront dures. Il y a une prise de conscience collective sur l'urgence de prendre des mesures fortes. Notre objectif est de tendre à l'équilibre à l'exercice propre pour les années à venir. Pour y parvenir, nous avons pris toute une série de mesures qui Img_0683.jpgprendront leur plein effet à partir de 2014. »  La conseillère du groupe Forum Laurence Nasdrovisky de bondir « A de nombreuses reprises nous avons souligné la mauvaise gestion de la ville et les dépenses inconséquentes et aléatoires qui étaient décidées. Nous en verrons encore quelques exemples  lors de l’examen des points soumis à notre vote ce jour. » Le conseiller du même groupe Laurent Postiaux allait dans le même sens « 2013 restera dans les annales mais certainement pas comme année de grand cru. Le budget que vous nous présentez tire sur toutes les ficelles des dépenses à l’extrême allant jusqu’à sacrifier le personnel communal. Quant aux recettes, elles toucheront encore plus, là où c’est possible les athois.« A situation exceptionnelle, solution exceptionnelle. Le budget a été étudié en détail. Nous avons travaillé sans tabous. Tous les postes de dépenses ont été passés au crible » dira encore M. Degand. Dire qu’il y a un an et avec un budget pareil, les libéraux auraient crié au loup mais aujourd’hui, ils sont dans la majorité. Comme quoi en politique la vérité d’hier n’est pas celle d’aujourd’hui.

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