Onze jeunes sculpteurs venant de l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles (ARBA) et une étudiante de l’École Supérieure des Arts de Mons (Arts2) se sont imprégnés de l’ambiance de la ville pour nous proposer des oeuvres dans l’espace public qui questionneront notre rapport au gigantesque. Par un jeu d’échelle, leurs créations seront les interprètes
poétiques et conceptuelles du rapport de l’Homme avec la démesure, en passant du gigantesque au minuscule.
L’auteur de l’œuvre Nicolas Miranda Matzua en parle « C’est un projet qui apporte pas mal de visibilité et qui s’installe dans un environnement sympathique. C’est une bonne
Expérience, avoir les moyens de construire en grand . À l’atelier, on est parfois un peu plus limité dans la taille, c’est la première fois que je construis quelque chose d’aussi gigantesque. Et puis, les dimensions de la structure permettent uneinteraction différente avec les gens, on pourrait imaginer qu’ils se promènent à l’intérieur. Je m’inspire des ruines comme un exemple de nature qui reprend son pouvoir sur l’Homme. » L'œuvre terminée devrait donner ceci
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