Avant-dernière des 41 symphonies écrites par Mozart, elle ne fut, semble-t-il, jamais exécutée du vivant du compositeur. Ce chef-d’œuvre absolu a souvent été mal compris, voire dénaturé. Il y a ici un sentiment de révolte. Le finale, par exemple, « marque le point culminant de toutes les crises de la vie de Mozart » (Jean-Victor Hocquard). Et Karl Barth d’ajouter : « Chez Mozart, tout ce qui est lourd plane, tandis que ce qui est léger pèse infiniment ». Comment Mozart exprime-t-il tout ceci dans son langage musical ?
Qui ne souvient pas de ce fabuleux morceau
Infos
Lieu : Château Burbant,rue du Gouvernement, Ath
Durée : +- 120 mn
Animateur : André Van Oekel
Tarif plein: 7,50€ / Tarif étudiant: 5€ / Article 27: 1,25€
Commentaires