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Faits Divers Ath - Page 17

  • L'Athois Maxime Delfosse est décédé

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    Maxime Delfosse

    Un terrible drame de la route s’est produit le long de la nationale 50 Tournai Mons dans la nuit de samedi à dimanche vers 04h10 sur le territoire de Braffe (Péruwelz) aucarrefour du ”Caillou d’Or ” entre trois voitures. Le bilan est lourd 2 tués et 5 blessés. Suite au choc deux des véhicules se retrouvèrent en contre bas dans une prairie. Le conducteur et le passager avant deux jeunes gens entre 20 et 30 ans des régions de Péruwelz et d'Ath ont été tués sur le coup. Dans les deux autres véhicules on dénombre 5 blessés tous admis dans les centres hospitaliers de Tournai Notre Dame et La Dorcas où ils ont été conduits par les soins des ambulanciers de Péruwelz et de Leuze en Hainaut. Nous avons appris le décès d'un Athois bien connu dans le milieu du foot mais aussi au sein de la ducasse d'Ath comme porteur au sein du Cheval Bayard. il s'agit de Maxime Delfosse, le fils d'Isabelle Borlez et petit-fils de Claude Borlez....Triste jour pour la Famille Delfosse-Borlez. On voit Maxime Delfosse (en rouge) qui était membre du comité du Brûlage de Marronnes"   Salut l'ami, on ne t'oubliera pas!Maxime Borlez

     

     

  • L'estaminet Athois, le Melchior sera fermé pendant 15 jours

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    melchior, estaminetAprès la quasi-émeute qui a mis la Grand-Place en émoi, dans la nuit de samedi à dimanche dernier, la ville a pris un arrêté de fermeture de la taverne “ Melchior ” jusqu’au 16 mai. Le patron ne comprend pas tout: il estime que c’est lui et ses clients qui ont été agressés. Des individus s’en étaient pris le week-end dernier à des clients du Melchior qui y fêtaient un anniversaire. L’affrontement avait dégénéré en émeute et mobilisé des renforts de la police fédérale.Ni les uns, ni les autres des protagonistes de cette bataille rangée ne sont des enfants de choeur... Dans le bistrot, quelque 70 personnes trinquaient à la santé de T., un Lessinois qui a ses habitudes à Ath. La plupart venaient de Bruxelles et appartiennent au noyau dur des supporters d’Anderlecht, pas spécialement réputés pour être très fleur bleue... Les “ agresseurs ”, eux, sont bel et bien des Athois, même si d’aucuns voient surtout en eux des “ étrangers ”, des “ Auvergnats ” aurait dit Brice Hortefeux, l’ex-ministre français de l’Intérieur...À sept contre septante (mais ils s’étaient muni de gaz lacrymogène), ils sont donc passés à l’attaque.La bagarre a provoqué quelques dégâts sur la Grand-Place mais elle aurait pu avoir des conséquences plus dramatiques. Le risque d’une escalade dans les représailles n’est d’ailleurs pas écarté...La Ville vient donc de prendre une sanction, contre le “ Melchior ”. Le patron, Antonino Ensabella, est philosophe mais il digère mal d’être le seul puni. Ceux qu’il considère comme ses agresseurs ne sont pour l’heure pas inquiétés (mais la justice suit son cours). “ La sécurité se dégrade à Ath ”, dit-il. “ Et laisser les fauteurs de troubles -pourtant bien connus- impunis va aggraver les choses. Il faut d’urgence une police de proximité qui soit à l’écoute et donc au courant de tout ce qui se passe pour pouvoir prévenir les difficultés. Nous, on veut pas la guerre, on veut seulement travailler pour nos enfants... Ceux qui veulent la bagarre n’ont qu’à aller la faire chez eux... ”. Le commissaire Pettiaux, chef de la zone de police, se veut rassurant, même si les effectifs seront renforcés ce week-end. ( infos le site: Nord-Eclair et JME)

  • Grosse castagne ce samedi sur la Grand-Place d’Ath entre une bande et des supporters anderlecthois

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    Pour beaucoup la soirée de samedi aurait été si on peut dire une sorte d’assaut final. En effet, durant toute la semaine beaucoup de tension régnait au sein de la Grand-Place. La veille c'est-à-dire le vendredi soir un athois avait reçu un coup de tournevis dans le cou. On se doutait bien que ce coup n’allait pas en rester là.

    Le samedi soir vers 22h30 les échauffourées ont débuté comme nous l’explique un patron d’un estaminet de la Grand-Place : « Il y a quelques années, le mardi de ducasse avait généré une grosse bagarre. Mais cette fois ci c’est presque  un assaut. Il est vrai que la veille un Athois avait été sérieusement blessé et ce que beaucoup de cafetiers redoutés c’est bien passé ce samedi c'est-à-dire un règlement de compte ». Et celui-ci de continuer : « On peut dire que cette bande reprenait plus ou moins septante personnes. Par ailleurs, on notait une certaine panique chez nos clients où même des femmes et des enfants criaient de peur.» Des personnes parlent même d’avoir entendu des coups de feu ce que ne confirme pas notre interlocuteur. « Pour ma part je n’ai pas entendu de coups de feu mais tout ce que je peux dire est que j’ai vu beaucoup de ce groupe armés d’armes blanches. De plus j’en ai retrouvé une près d’une de mes poubelles et je peux vous dire que celle-ci était fort impressionnante. Elle ressemblait fort à un énorme couteau de boucher ».Bagarres, Grand-Place Ath A 23h bon nombre de cafés de la Grand-Place avait porte close et volets baissés tellement la peur y régnait. On parle même qu’un policier aurait été blessé. « Alors que nous croyons qu’une accalmie allait se déroulait le même groupe se déchainait de nouveau vers minuit trente. Quelques instants plus tard la police fédérale descendait avec plusieurs combis. » On le voit ce samedi soir sur la Grand-Place il ne faisait pas bon de se promener et dire que dans trois semaines on va fêter les cents jours de la ducasse d’Ath. Espérons que d’ici là le calme sera revenu.  

  • Isières: importante saisie d’animaux maltraités

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    Isières: importante saisie d’animaux maltraités

    Des lapins avec des ongles démesurés. (Animaux en péril). Mercredi, l’ASBL animaux en péril a opéré une importante saisie d’animaux à Isières. Après Ogy, la région connaît des gros soucis en matière de maltraitance animalière. Cinq chats, trois chatons, un cobaye, un chien et six lapins ont été saisis dans une habitation isièroise (Ath). Les chats sont infestés de puces et de vers et trois d’entre eux ont un coryza, une infection respiratoire qui n’a pas été soignée par la propriétaire. Les chats garderont d’importantes séquelles. Quant au chien, il a également des puces et des vers mais c’est psychologiquement qu’il gardera les plus lourdes séquelles. Il est pour le moment hors de question d’entrer en contact avec lui. Cette saisie survient au même moment que les équidés en grand danger de mort du côté d’Ogy (Lessines).Tous les détails dans l’édition de Nord Eclair de ce vendredi 22 avril.

  • Ath: le chirurgien accro aux analgésiques détournait des cartes Sis

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    Le chirurgien urologue, détournait des cartes Sis et des ordonnances. Poursuivi devant le tribunal correctionnel de Tournai, il a bénéficié de la suspension du prononcé, en raison de son passé. Originaire d’Iran, le médecin y avait été torturé. Le juge a pris en compte les circonstances particulières qui ont amené Kiyana, un chirurgien urologue renommé, né en Iran en 1968, à détourner des cartes Sis et des ordonnances pour se procurer de la dolantine, un analgésique narcotique dont il ne pouvait se passer.faits divers ,Ath

    Le médecin, installé à Ath, avait agi de la sorte entre le 1er juillet 2007 et le 20 mars 2009. “ J’avais des douleurs physiques insupportables au niveau des cervicales ”, avait-il précisé au tribunal. “ Pour lutter contre cette douleur, j’ai pris légalement de la dolantine pendant plusieurs mois avant de me résoudre à subir une opération           chirurgicale qui a mis fin à ce problème. C’est alors que je me suis rendu compte que je ne pouvais plus me passer de ce médicament ”.

    Torturé en Iran

    Un “ burn out ” s’était ajouté aux problèmes du chirurgien qui n’est d’ailleurs pas n’importe qui. Avant d’obtenir l’asile politique en Belgique, les autorités iraniennes, mises au courant de sa volonté de fuir le pays, l’avaient incarcéré avant de le soumettre à la torture. Dents cassées, sternum enfoncé, il avait même dû endurer deux fausses exécutions. Mais de brillantes études l’ont amené plus tard à diriger les principaux services d’Urologie en Belgique. Après avoir été écarté de l’exercice de la médecine, il a retrouvé aujourd’hui ses droits auprès de l’ordre des médecins français et dirige un service moderne d’urologie qu’il a développé dans le nord de la France. Autant d’éléments dont le tribunal a tenu compte, en décidant la suspension du prononcé. Souce www.nordeclair.be