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Ath, c'est toute une histoire

  • Ath Le Calvaire à coté de l'église St Martin fait partie du paysage Athois. Votez pour sa restauration

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    Calvaire (photo L. Dubuisson Office de Tourisme d'Ath ).jpgEn 2030, Belgique fêtera son bicentenaire. Mais sans patrimoine, pas de festivités. La sauvegarde du patrimoine est un défi de taille!

    C’est pourquoi, l’IRPA (Institut du Patrimoine Artistique) lance le Challenge Patrimoine. Chaque année, depuis dix ans, un trésor patrimonial qui nécessite d’urgence des soins est choisi. 

    L’objectif ? D’ici 2030, assurer l’avenir d’au moins dix joyaux du patrimoine belge.  

    L’Office de Tourisme d'Ath a remis une candidature en proposant le Calvaire situé à côté de l’église Saint-Martin. Ce groupe de sculptures monumentales, réalisées dans du chêne, datent de cinq siècles. Le Calvaire fait partie de notre paysage urbain. Longtemps placé sur les remparts de la Ville, il a survécu à la Révolution française, aux guerres.

    CalvaireChrist (photo Office de Tourisme d'Ath) (1).jpgDepuis 200 ans, il est placé à côté de l’église Saint-Martin. Son état matériel nécessite une restauration afin de le préserver. En effet, il subit les conditions climatiques, la pollution et les déjections d’oiseaux. Sélectionnés par un jury, nous avons la chance de faire partie des sept trésors patrimoniaux nominés (deux en Flandre, quatre en Wallonie et un à Bruxelles). 

    Le 24 octobre, la nouvelle édition du Challenge Patrimoine débutera! Pour la quatrième année consécutive, le public sera amené à voter pour son objet préféré. Pour l'œuvre gagnante, une somme de 25 000 € sera octroyée par l’IRPA pour un traitement de conservation-restauration réalisé par leurs ateliers. De plus, le gagnant bénéficiera d’un encadrement de l’IRPA en matière de communication et dans la recherche de subsides supplémentaires le cas échéant. Aucun budget ne sera demandé à la Ville d’Ath dans le cadre de cette restauration. On compte sur le soutien de tous!

    Votez ICI

  • Ath : Visite guidée de l'exposition Gallo-Romain par le cercle d'histoire Athois

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  • Ducasse d'Ath : Voilà pourquoi la ducasse d’Ath se termine le 8 septembre

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    1638721416-thumb.jpgCe 8 septembre, la ducasse d’Ath sonnera le glas et les festivités se clôtureront par le tournoi ballant de la ville d’Ath et par un concert et un feu d’artifices ! Mais pourquoi la ducasse se termine-t-elle le 8 septembre et pas avant ? Nous avons interrogé pas mal d’Athois et la plupart n’ont pas réponses et nous disent que « C’est comme cela » ou alors « Je ne sais pas ». Bien sûr, nous avons décidé de ne pas en rester là, nous avons rencontré l’historien et archiviste de la Ville d’Ath, Adrien Dupont qui nous dit avoir deux hypothèses.

    2925086820.jpg« À l’heure actuelle, personne ne s’est vraiment penché sur la question. Il n’est donc permis que d’émettre des conjectures. Deux hypothèses émergent. D’une part, le 8 septembre est une fête religieuse, à savoir le Nativité de la Vierge Marie. Elle est toujours célébrée à Ath. Les louanges sont chantées le matin à 8 h en la chapelle de Fatima et ensuite un groupe de paroissiens se rend en pèlerinage à pied au sanctuaire deTongre-Notre-Dame. Ce pèlerinage existait déjà sous l’Ancien Régime et la Ville défrayait les Serments de Canonniers pour s’y rendre officiellement. Au 18e siècle, il se tenait un mardi suivant la procession de la ducasse ou après le 8 septembre. Il faut attendre le 19e siècle pour qu’il se stabilise au jour proprement dit de la Nativité de la Vierge. » Une fête qui a lieu ce jeudi ! On sait que certains voudraient dépoussiérer et relancer cette fête…

    Une autre piste

    Et la seconde pourrait être celle-ci, comme le souligne Adrien :

    « Dans les années 1840, la foire annuelle débutait le dimanche de la ducasse et se clôturait le 8 septembre. Cela est confirmé par la première histoire du cortège rédigée par Fourdin en 1870. L’avancement d’un mois pour le début de la fête était déjà présent en 1786 lorsque l’empereur Joseph II a réformé les processions et ainsi supprimé momentanément le cortège du 4e dimanche d’août alors les marchands lui ont adressé une requête demandant si la réforme s’appliquait également à la foire, indépendante de l’aspect festif et religieux. C’est l’origine de notre champ de foire », ajoute notre historien athois.

    Voici donc deux pistes de recherches à approfondir. Il faut constater également que le programme des manifestations de la fin de la ducasse tel que nous le connaissons aujourd’hui n’a pris forme que vers 1910.

  • Moulbaix: Les villageois vont célébrer leur riche patrimoine

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    Capture.JPGLes Moulbaisiens ont pris l’habitude de célébrer leur riche patrimoine à travers le théâtre, avec un spectacle de rue à chaque fois inédit relatant les petites histoires et la grande Histoire du village. Clap 10 ! C’est en effet la 10e année que la Troupe des Amis du Plaisir de Moulbaix, rejointe par de nombreux villageois de toutes générations, partage sa passion et son talent au cœur du village de Moulbaix.

    Cette année, au départ du parking du Parc mellifère, vous plongerez dans différentes ambiances inhérentes aux circonstances de la Seconde Guerre mondiale. A chaque scène, une tranche de vie. L'occasion de faire revivre des Moulbaisiens aujourd'hui disparus : Adrien Debruxelles emprisonné au Stalag XX à Willenberg, en Prusse orientale, ou encore Jules Destrebecq revenu au village après s'être évadé durant son transfert vers l'Allemagne. Un fil rouge tout de même qui vous mènera du parc mellifère au moulin de la Marquise : l’arrivée de la famille Dhaenens au chevet du moulin, à l’abandon depuis plusieurs années. Une aubaine pour des tas de familles pour qui la farine s’apparentera à « L’or blanc », d’où le titre du spectacle ! Tout cela, quelques jours à peine après la commémoration des 80 ans de la Libération...

    Spectacle gratuit sam. 7 et dim. 8 sept. à 15h et à 17h

    Départ parking du Parc mellifère, Place de Moulbaix, 7812 Moulbaix

    Bar et petite restauration sur le site du Moulin de la Marquise + visites guidées gratuites du moulin de 15 à 18h, les deux jours.

  • Ghislenghien : Il y a 20 ans, le Pays Vert était anéanti

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    Ce mardi 30 juillet, les Athois se souvenaient de la tragédie de Ghislenghien qui en 2004 avait vu la mort de cinq pompiers Athois et un policier arrivés sur les lieux quelques minutes avant le drame. Il y a aussi eu plus de 130 blessés. Il s’agissait de la catastrophe industrielle la plus meurtrière en Belgique depuis celle du Bois du Cazier en 1956. Et ce mardi matin un hommage a été rendu Un hommage a été rendu aux victimes accompagnées d’une pensée sincère aux familles et aux proches. Le Bourgmestre et le Commandant des Pompiers ont déposer une gerbe à la stèle de la caserne à 8h30et à Ghislenghien à 8h57 et la sonnerie de St Julien a retenti à 8h57. Comme l’a souligné le maïeur Athois, « Aujourd’hui est une journée sombre qui commémore le plus grand drame que notre Ville et notre Pays ait connu... Je rends hommage aux victimes et j’accompagne les familles et leurs proches d’une pensée sincère et profonde...Les années passent mais la douleur reste. Un représentant du roi Philippe était présent.Ce mardi 30 juillet, les Athois se souvenaient de la tragédie de Ghislenghien qui en 2004 avait vu la mort de cinq pompiers Athois et un policier arrivés sur les lieux quelques minutes avant le drame. Il y a aussi eu plus de 130 blessés. Au total cela a été plus de 24 morts qui ont peri dans cette catastrophe.

    Il s’agissait de la catastrophe industrielle la plus meurtrière en Belgique depuis celle du Bois du Cazier en 1956.

    Et ce mardi matin un hommage a été rendu

    Un hommage a été rendu aux victimes accompagnées d’une pensée sincère aux familles et aux proches.

    received_1000839378153869.jpegLe Bourgmestre et le Commandant des Pompiers ont déposer une gerbe à la stèle de la caserne à 8h30et à Ghislenghien à 8h57 et la sonnerie de St Julien a retenti à 8h57.

    Comme l’a souligné le maïeur Athois, « Aujourd’hui est une journée sombre qui commémore le plus grand drame que notre Ville et notre Pays ait connu... Je rends hommage aux victimes et j’accompagne les familles et leurs proches d’une pensée sincère et profonde...Les années passent mais la douleur reste.

    Un représentant du roi Philippe était présent.

    Plus de photos en cliquant ICI ou dans notre album " 20 ans Ghislenghien"

    Merci a Ath-Infos Direct pour les photos

  • Ghislenghien: 20 ans plus tard , on n'oublie pas

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    1637410325.jpgLa catastrophe de Ghislenghien est un tragique évènement que l'on ne peut oublier. Cela fait 20 ans ce 30 juillet 2021

    Ce matin, le service d'incendie déposera une gerbe à la stèle commémorative à la caserne du service incendie, boulevard du Château

    Ce mardi à 8h57 la grosse cloche retentira.

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    453391767_10233304023687642_5106901145211852909_n.jpg

  • Ghislenghien: Revivez cette " journée en enfer" sur RTL-TVI ce mardi 4 juin

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    670928141.jpgRegardez ce mardi 4 juin sur RTL tvi à 19:50 le programme "Ghislenghien, une journée en enfer" produit en 2024. D'une durée de 60 min ce programme est adapté à tous publics. Au travers de témoignages inédits, découvrez le récit poignant de ceux qui ont vécu de près l'explosion d'une conduite de gaz dans une usine de Ghislenghien. 20 ans après le drame, blessés, secouristes et citoyens reviennent sur la manière dont ils ont vécu cette journée et sur l'impact de cette catastrophe sur leur vie quotidienne

    2674016435.jpg

  • Ath: Comment fabriquait-on la bière sous l’Ancien régime?

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    Bierbrauer-1568.pngSamedi 9 mars à 15 h, au Palace, cafétaria, Panorama de l’activité brassicole à Ath sous l’Ancien Régime, par Jean-Pierre Denis, bourgmestre et Député honoraire, membre du bureau du Cercle. 

    La conférence sera suivie d’une dégustation des bières de la Brasserie des Légendes, organisée par Pierre Delcoigne.

    Comment fabrique-t-on la bière sous l’Ancien régime ?

    Quels sont les ustensiles à disposition ? Quelles sont les capacités de production ? Quelles sont les lignes de force d’un des secteurs les plus lucratifs du paysage économique local ? Comment les autorités locales ont-elles manœuvré pour obtenir le partage de cette manne financière ? Telles sont les questions auxquelles le conférencier s’efforcera d’apporter des réponses à partir d’un large dépouillement archivistique.

    Quasi aucune information ne nous est parvenue sur les anciennes brasseries banales mise à disposition par les seigneurs laïcs et ecclésiastiques. Très tôt, des brasseries bourgeoises (privées) ont probablement été autorisées moyennant le paiement d’une taxe. Ces établissements privés étaient plus à même de répondre aux multiples variations de la demande d’une ville en développement et des besoins financiers qui en découlent.

    Carlton_breweries_1886.jpgLes XIIIe et XVIe siècle pourraient correspondre à l’âge d’or de l’activité brassicole. Les brasseurs jouissent d’une situation de monopole coulée dans des textes légaux (ordonnances des brasseurs de 1481). Des règlements émanant des différents niveaux de pouvoir tentent de mettre au pas une profession à la rentabilité en plein essor et prompte à imaginer des stratégies d’optimisation susceptible d’alléger ou éluder une charge fiscale (maltôte) indispensable à la construction et l’entretien des fortifications, le remboursement des emprunts et le versement des aides au souverain. Au fils des décennies, la Ville va tenter de renforcer son emprise dans la régulation d’un secteur économique générateur de profits importants.

    Le glissement de la production de bière dans le giron public s’effectue en trois temps.

    A la fin du XVIe siècle, les pouvoirs publics commencent à porter atteinte aux privilèges accordés jadis aux brasseurs sous la forme d’une, puis de plusieurs brasseries communales. Au début du XVIIe siècle, un nouvel élément instille un peu plus de concurrence dans le secteur. Désormais, les vendeurs au détail (« brocqueteurs », taverniers, aubergiste et autres « hostelains») pourront brasser (1616) et les particuliers ne pourront fabriquer leur bière que dans les établissements communaux. A la fin du XVIIe siècle, face à l’ampleur des difficultés financières et les multiples obstacles entravant la perception des accises sur les bières, les échevins se radicalisent et obtiennent la suppression et l’expropriation forcée des brasseries bourgeoises (privées). En agissant de la sorte, la Ville s’alloue le monopole du brassage sur l’ensemble de l’espace urbain. Toutes ces dispositions successives sont querellées devant les tribunaux et génèrent des procès aussi interminables que coûteux pour les parties en présence.

    Il faudra attendre la seconde moitié du XVIIIe siècle avec l’allègement puis la suppression de la maltôte pour retrouver une situation plus apaisée. A la même époque, on assiste au retour progressif des acteurs privés, d’abord sous la forme d’une mise en location des brasseries communales puis, avec les nouvelles dispositions légales au début du régime français, la réapparition des brasseries privées.

    Souces : WIKIMEDIA 

  • Ath: La prochaine conférence du Cercle s'attardera sur l patrimoine immatériel

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    1.jpgLe Samedi 25 novembre à 15h, à la Maison Culturelle, château Burbant : Le patrimoine immatériel de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Passions à partager, par Laurent Dubuisson, directeur de la Maison des Géants, membre du Bureau du Cercle.   

    2.jpgLe patrimoine immatériel repose avant tout sur des interactions humaines. Il s’exprime à travers les gestes, les savoir-faire, les pratiques artisanales, transmis de génération en génération. L’importance de ce patrimoine ne réside pas tant dans la manifestation culturelle elle-même que dans la richesse des connaissances et du savoir-faire qu’il transmet d’une génération à une autre, dans le sentiment d’appartenance ressenti par une communauté, le lien qu’il contribue à créer entre les individus. Cette conférence se propose de présenter la diversité des pratiques du patrimoine immatériel en Wallonie et à Bruxelles. 3.jpgLes enjeux actuels seront également abordés : la place des femmes, la multiculturalité, les rapports culture/économie, la perte de cohésion sociale…

  • Villers-St-Amand: le Cercle d’histoire des familles organise une rencontre à propos de l’ancien château de Villers-St-Amand.

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    cpvillerssa_chateau.jpgLe samedi 17 juin, le Cercle d’histoire des familles du Pays d’Ath organise une rencontre à propos de l’ancien château de Villers-St-Amand.

    Samedi 17 juin, à 15 h 30, aux Archives de la Ville d’Ath (boulevard du Château 16)

    Rencontre généalogique du Cercle d’histoire des familles du Pays d’Ath

    Exposé : « le château de Villers-Saint-Amand. État de la question », par Catherine Langhendries

    Résumé : l’oratrice retracera les aléas du château de Villers-St-Amand du milieu du XVIIIe siècle à l’incendie de 1943.  L’accent sera mis sur la généalogie des propriétaires durant ces deux siècles : les familles Ducorron et du Chasteler.

    Infos et contact : 068/681.353 et via le courriel: musee.d.histoire@ath.be

     

  • Maffle:Une exposition sur les travailleurs des carrières de pierre en Palestine débute ce samedi

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    2.jpgA l’initiative de Présence et Action Culturelle, section de Maffle et de son président Nicolas Wallez, le Musée de la Pierre de Maffle présente cette exposition de photographies de Véronique Vercheval. Cette photographe a commencé sa carrière de photojournaliste pour le magazine Voyelles.  Elle a mené des enquêtes à long terme de type documentaire et sociologique, notamment pour les « Archives de Wallonie ». Elle a photographié les sidérurgistes, les verriers, les mineurs, les infirmières et les médecins, les agriculteurs, les transporteurs routiers… Elle a fait plusieurs reportages en Palestine occupée. Elle privilégie toujours le point de vue social et le côté humain des choses.

    La coopération belge au développement, Solsoc (Solidarité socialiste),  la Centrale générale FGTB et la Palestinian General Fédération of Trade Unions sont les partenaires de cette exposition qui veut rendre compte de la situation des travailleurs des carrières de pierre en Palestine aujourd’hui. On fera des rapprochements avec la situation des ouvriers carriers dans nos régions au 19e siècle présentée dans le musée.

    L’exposition est constituée de 20 panneaux de photographies avec leurs légendes et de 2 panneaux d’introduction.  Elle pourra être découverte au Musée de la Pierre (chaussée de Mons à Maffle (Ath) du 15 au 28 avril 2023, chaque jour de 14 à 17 heures.

    Les membres sont cordialement invités au vernisssage le samedi 15 avril 2023 à 11 heures et au « dévernissage » en mode afterwork  le vendredi 28 avril à 18 heures. La photographe Véronique Vercheval et des représentants de la FGTB animeront ces séances avec les responsables du Musée de la Pierre.

     

  • Ath: Les occupations préhistoriques mises au jour sur le site des Haleurs à Ath

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    1.jpgSamedi 15 avril à 15h à la Maison culturelle d’Ath (château Burbant), Les occupations préhistoriques mises au jour sur le site des Haleurs à Ath, par Isabelle Deramaix, archéologue, Agence Wallonne du Patrimoine , avec la collaboration de : Solène Denis, Ivan Jadin, Michel Van Aasche, Clarisse Cagnato, Nicolas Cayrol, Olivier Collette,
    Benjamin Gehres, Eric Goemaere, Louise Gomart, Caroline Hamon, Dimitri Teetaert, Yves Va Brabant et Martin Zeebroek. « Le projet immobilier des Haleurs a fait l’objet d’une importante campagne de fouilles préventives organisée par l’AWaP entre 2015 et 2017. Les découvertes ont été importantes depuis la préhistoire jusqu’aux assauts de la ville durant les 17 e et 18 e siècles. Une première conférence en octobre 2018, a présenté les occupations historiques. La conférence d’avril va dévoiler les occupations mésolithiques
    (2 e moitié du 10 e – 1 ére moitié du 9 e millénaire BP) et néolithiques (5300-4650 av. J.-C.). Les premières
    témoignent du passage de chasseurs cueilleurs qui ont séjourné de manière temporaire aux abords de la Dendre orientale. Les secondes montrent l’implantation de premiers « villages » d’agriculteurs
    sur le territoire, où se succèdent deux cultures néolithiques. »

    Infos

    Quand: Samedi 15 avril à 15h à la Maison culturelle d’Ath (château Burbant)

  • Ath: Le Cercle royal d’Histoire et d’Archéologie d’Ath publie un nouveau livre d’histoire régionale

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    annales2022.jpgLe Cercle royal d’Histoire et d’Archéologie d’Ath publie un nouveau livre d’histoire régionale. Une grosse partie de l’ouvrage est consacré à Lessines. Les contributions sont variées. Raymond Duhaut, décédé en 2020, a laissé 17 articles sur l’histoire contemporaine de la région du 18e siècle à nos jours. L’histoire politique et administrative y a sa place à côté de la vie quotidienne ou des sociétés locales. Pierre Brimberg et Aymeric Jourquin, un historien et un archéologue ont réalisé une enquête très documentée sur la peste, tout particulièrement à Lessines. C’est à un conflit à propos de la peste entre les autorités et l’Hôpital que s’est intéressée Camille Holvoet, archiviste de l’Hôpital Notre-Dame à la Rose. Elle a aussi, en collaboration avec l’historien Michel Deltenre, abordé un problème relatif aux reliques. Elle a mis en évidence, avec Yves Wicquart, spécialiste de l’histoire des familles, un aspect de la vie des collections du Musée. Jean-Pierre Denis consacre une étude originale à la livraison des pierres pour la construction de l’Hôpital. Un relevé bibliographique vient compléter cet ensemble qui renouvelle complètement nos connaissances sur l’histoire de Lessines.

    A côté de cet ensemble, Michel de Waha, professeur à l’ULB apporte des informations nouvelles sur l’histoire du Hainaut au 10e siècle autour des pouvoirs de la famille des Régniers. Guy Dauvillée a rassemblé une belle documentation sur Paul Wagniez, un artiste athois, trop méconnu et qui a illustré sa ville d’adoption. Il présente les résultats de ses recherches en collaboration avec Jean-Pierre Ducastelle.

    Cet ouvrage de 574 pages, abondamment illustré, peut être obtenu en souscription jusqu’au 1er janvier 2023. Il est disponible au Archives de la Ville d’Ath (Boulevard du Château, Ath), à l’Office de Tourisme d’Ath (provisoirement à l’Espace Gallo-Romain) ou à l’Hôpital Notre-Dame à la Rose. Il peut être envoyé en souscription en versant la somme de 49€ au compte BE41-0680 5481 3010 du Cercle d’Histoire et d’Archéologie d’Ath. Les membres du Cercle en règle de cotisation pour les années 2021 et 2022 sont invités à retirer cet ouvrage aux Archives de la Ville d’Ath (Boulevard du Château).

  • Ath: Cette année le patrimoine Athois se conjugue au féminin

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  • Ath: Les Journées du patrimoine vont mettre les femmes en valeur...

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    Eglise d_Arbre J. Flament©OTA.JPGPour ces 11 et 12 septembre, les organisateurs des Journées du Patrimoine ont concocté une 33e édition très féminine.

    La mise en valeur des femmes dans le patrimoine, dans leur rôle, leur fonction, leur apport, leur gestion, leur empreinte, leur souvenir - sera à l’honneur en septembre.

    Les biens patrimoniaux wallons en lien avec l’évolution des droits sociaux et politiques des femmes en Belgique seront également mis en avant.

    Sur Ath, le week-end sera ponctué d'activités tant au centre-ville que dans les villages. Des activités se feront tant à l'intérieur qu'en extérieur. Le programme proposé est particulièrement varié et donnera certainement l'envie de partir à la rencontre des pépites locales.

    PATRIMOINE ATH 1.JPGAu sein de la cité des Géants, il a été décidé de mettre la femme en valeur comme l’a expliqué l’Echevine Nathalie Laurent lors de la conférence de presse « Un circuit libre vous invite à la découverte de huit bâtiments patrimoniaux incontournables et de huit femmes remarquables qui ont marqué l’histoire locale, qu’elles soient femme politique, peintre, actrice, cantatrice, résistante, écrivaines, révolutionnaire… Autant de destins extraordinaires trop méconnus. L’Echevine de poursuivre « Le parcours débutera à l’hôtel de Ville, un ensemble d’inspiration baroque aux fronton ouvragé et pignon à volutes, édifié de 1614 à 1624 sur les plans de W. Cooberger

    (1557-1634), l’architecte des archiducs Albert et Isabelle. Il vous emmènera ensuite à l’Espace gallo-romain ou à l’ancien refuge de l’abbaye de Ghislenghien, à la rue des Écriniers, au Palace et dans bien d’autres lieux. »  

    PATRIMOINE ATH 3.jpgIl est vrai que le patrimoine se conjuguera au féminin. Comme à Maffle : La taille de la pierre par des femmes au musée de la Pierre.  Ce week-end, place aux femmes sculptrices et restauratrices de sculpture sur pierre, Perrine Franco et Laura Porcu. Elles vous feront découvrir leur métier passionnant.

    Ancien hôpital de la Madeleine Ath Collection ©OTA.jpgMarie-Madeleine et l’ancien hôpital d’Ath seront aussi mis en valeur comme l’a souligné Laurent Dubuisson « Le Centre public d’Action sociale est l’héritier de l’ancien hôpital de la Madeleine. Fondé en 1449 par Philippe le Bon, cet hôpital était géré par des religieuses augustines dévouées à leur sainte patronne, Marie-Madeleine. »

    D’autres femmes feront la part belle du patrimoine des femmes artistes à l’église d’Arbre et le rôle de la femme dans les collections de l’Espace gallo-romain et aussi au mausolée de Clémentine d’Oultremont, une ambiance romantique et poétique.

    PATRIMOINE ATH 2.jpgDans le cadre des Journées du Patrimoine, le cinéma l’Ecran propose le film « Hiver 60’ » de Thierry Michel, avec Françoise Bette (une de nos Athoises célèbres) dans un des rôles principaux. Le film sera diffusé le dimanche 12, à 16h. Prix d’entrée au tarif réduit : 5 euros. www.mcath.be/cinema

    Et encore dans bien d’autres lieux.

    Infos

    Plus de renseignements complets sur le programme de ce 11 et 12 septembre EN TELECHARGEANT LE PROGRAMME CI-DESSOUS

    Programme officiel extrait du catalogue.pdf

    Certaines activités sont limitées en terme de visiteurs, vous pouvez réserver votre place sur le site en choisissant bien la date qui vous convient.

    Affiche Eche à la Dame.jpg

  • Ath: Partez à la découverte Une trentaine de casemates des fortifications de Vauban

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    IMG_3890.jpgDès 1817, les Hollandais remettent en valeur les fortifications de Vauban et les complètent, en 1824, par la construction d’un fort sur le Mont Féron, construit vers Tournai (ouest de la ville). Le but est de protéger la ville des armées françaises.

    Cet imposant fortin est composé de 117 casemates . Un long souterrain les reliait à la ville.

    Une trentaine de casemates sont conservées

    en parfait état et classées. Ne ratez pas l’occasion de faire la découverte de ces derniers vestiges de l’époque !

    Visite guidée de 1h30

    Jeudi 5 août à 15 h (NOUVELLE DATE)

    Vendredi 6 août à 15 h (NOUVELLE DATE)

    Samedi 7 août à 15 h (NOUVELLE DATE)

    Dimanche 8 août à 10 h 30 (NOUVELLE DATE)

    Mercredi 11 août à 15h (COMPLET)

    Samedi 14 août à 15h (COMPLET !)

    Dimanche 15 août à 10h30 (COMPLET) et 15h (COMPLET)

    (bottes et lampes de poche conseillées)

    Prix : 5 €/personne

    Moins de 5 ans gratuit.

    Minimum : 5  - max 20 participants

    Pour choisir votre date cliquez ICI

  • Ath: Allez découvrir la Via Tenera de la cité des Géants

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    Capture d’écran 2021-06-06 151401.jpgDans la foulée de la magnifique exposition « SANTIAGO de COMPOSTELLA - 1000 ans de Pèlerinage Européen »  réalisée à Gand dans le cadre de  « EUROPALIA 85 Espagne », une poignée d’amis, qui avaient déjà pérégriné jusqu’à Santiago de Compostelle, passionnés du Camino et par le phénomène jacquaire, fondent l’Association Belge des Amis de Saint Jacques de Compostelle le 16 avril 1986.

    Un article des statuts définit l’objet de l’Association comme suit : « L’Association a pour objet l’étude des activités artistiques, littéraires, historiques, religieuses, sociales et culturelles qui ont vu le jour en Europe - et plus spécialement dans nos régions - eu égard à la vénération de saint Jacques le Majeur et à la continuation de la tradition en rapport avec les pèlerinages à Compostelle… »

    Depuis plus de 25 ans, l’Association accueille et prépare bénévolement toutes les personnes qui souhaitent prendre le Chemin de Compostelle. Elle promeut et défend la mise en valeur du patrimoine jacquaire dans nos régions. Elle développe l’aide au candidat-pèlerin par la fourniture des conseils pratiques, de documentation sur les chemins en Belgique, en France et en Espagne, de guides pour organiser sous ses aspects multiples un pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle. Elle crée aujourd’hui un lien entre les pèlerins anciens et futurs par le biais de ses soirées d’accueil à Bruxelles et en province, par sa revue Le PECTEN, sa Newsletter et sa page Facebook.

    Ses autres activités principales sont le repérage et le balisage des chemins en Belgique et l’éditions de topo-guides qui les décrit, la en Belgique, la délivrance de crédenciale (passeport du pèlerin) la coordination d’une chaîne d’accueil pour les pèlerins et l’organisation de sorties d’entrainement pour les candidats pèlerin pédestres et cyclistes. Elle dispose en outre d’une Bibliothèque renfermant près de 400 ouvrages sur le thème jacquaire.

    Aujourd’hui, l’Association compte un peu moins d’un millier de membres, harmonieusement répartis entre tranches d’âge et situation géographique, principalement à Bruxelles et dans le sud du pays.

    L’Association entretient également des liens étroits avec des associations et structures jacquaires Européennes et mondiales, dans un esprit de collaboration et de respect de l’autonomie de chacune d’elles.

    Ce 12 juin nous permet de revenir à Ath, l’un des centres de gravité de la Via TENERA, que l’association a restaurée depuis 2017, avec l’aide et l’impulsion de passionnés du Camino comme Adrien Dupont et Pierre et Marie-Christine Papleux-Dochy.

    La Via TENERA est une voie jacquaire, passant par Alost, Lessines, Ath et continuant vers Valenciennes. Elle est attestée par la présence d’Hôpitaux Saint-Jacques et de Confréries Saint-Jacques depuis le XIVè siècle dans ces principales villes.

    Ils ont le plaisir de fêter la sortie du topo-guide de la Via TENERA dans un écrin très particulier que constitue l’exposition des pastels de Marie-Christine Dochy.  Ils restituent admirablement l’ambiance de chemins de Saint-Jacques qu'ils ont vécus lors des journées d’inauguration de la Via TENERA (de septembre 2017 à mars 2019) ou que Marie-Christine et Pierre ont rencontrée lors de leur pèlerinage jusque Santiago.

    Ath vous attend en juin, et spécialement le 12 juin de 14 à 18 h pour découvrir la Via TENERA.

    Le programme provisoire s’établit comme suit :

    Du 1er au 30 juin : Exposition des œuvres de Marie-Christine Dochy à la Bibliothèque Jean de la Fontaine à Ath, doublée d’une présentation de documents et d’ouvrages liés au Chemin de Saint-Jacques et au passé jacquaire de Ath.

    L’exposition se poursuit également à l’ATHEIERE rue de Pintamont en face du parvis de l’église Saint JULIEN avec comme thème « Madones et anges du chemin »

    Elle sera visible tout le mois de juin 2021 aux heures d’ouverture de l‘ATHEIERE.

    Le 12 juin :

    Dès 14h :  A la Bibliothèque Jean de la Fontaine et à l’ATHEIERE  :  Expositions  et rencontre avec l’artiste et avec des pèlerins

    15h : Eglise SAINT JULIEN  :

    Départ d’une promenade dans le Ath jacquaire  de 15h à 15h45

    Eglise Saint-Julien : rencontre avec des pèlerins, exposition jacquaire, Librairie Saint-Jacques, Délivrance de la crédenciale

    16h30 : Conférence - Présentation des chemins de Saint-Jacques - Témoignage.

    Renseignements :

    Pierre et Marie-Christine Papleux-Dochy :   tel  068:/283549 ou 0495/722041

    Association Belge des Amis de Saint-Jacques :

    www.facebook.com/stjacques.be ou www.st-jacques.be

    president@st-jacques.ws ou 0479 98 25 63

  • Isières: Ce mercredi, le village se recueillait pour ses disparus de la bataille de la Cavée

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    187270277_121482726655956_5806372182683883128_n.jpgCe mercredi, le village d’Isières se recueillait devant ses disparus de la bataille de la cavée.

    Pour cette commémoration, on notait la présence des associations patriotiques du Pays Vert Sans oublier la présence du Bourgmestre, Bruno Lefèbvre qui avait tenu à être présent pour rendre un hommage.

    188384537_934356837136802_4678695988230967817_n.jpg

    Merci à Ath-Infos-Direct pour les clichés. Plus de photos en cliquant ICI

     

  • Ath: L'historien Athois Christian Cannuyer va commenter les funérailles du Duc d'Édimbourg

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    proxy.jpegCe samedi à 15h à l’occasion de la retransmission des funérailles du Duc d’Edimbourg sur RTL-TVI, on retrouvera l’Athois Christian Cannuyer grand spécialiste des têtes couronnées européennes.

    Philip Mountbatten, Duc d'Édimbourg, né Philippe de Grèce le 10 juin 1921 à Corfou, en Grèce, et mort le 9 avril 2021 à Windsor, au Royaume-Uni, était le mari d’Élisabeth II, reine du Royaume-Uni et des autres royaumes du Commonwealth.

  • Ath: Nouveau volume d’Annales du Cercle d’Histoire et d’Archéologie d’Ath

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    Couverture.jpgLe Cercle d’Histoire et d’Archéologie d’Ath et de la région vient de publier le tome 67 de ses Annales. Ce gros volume de près de 300 pages contient plusieurs études relatives au pays d’Ath et de Lessines.

    " Michel Deltenre s’est intéressé à des épisodes de la vie au sein de l’Hôpital Notre-Dame à La Rose à Lessines au crépuscule du 16e siècle. Il met en évidence le scandale suscité par l’engrossement de trois religieuses professes." Souligne l'Historien Athois , Jean-Pierre Ducastelle. et Jean-Pierre de poursuivre " Malika Van Ermen a étudié pour son mémoire de licence les relations entre la ville et ses remparts à la fin du Moyen Âge. Son travail est basé notamment sur un examen critique du plan de Jacques de Deventer remontant au 16e siècle et qui donne une image de la cité à cette époque. Les documents d’archives complètent la vue en plan. On voit comment les Athois vivaient entourés des remparts élevés vers 1400 et qui ont laissé des traces dans le paysage de leur ville jusqu’à nos jours."

    Jacques Declercq, bien connu pour ses travaux sur la région de Lessines s’est passionné pour l’histoire de sa famille à travers les siècles. Les Declercq ou Leclercq sont connus à partir de Deux-Acren mais ils ont essaimé dans toute la région et jusqu’en France. On les retrouve notamment à Mévergnies, Attre, Chièvres ou Rebaix. Ils ont joué un rôle dans la poterie, les carrières ou les brasseries. Certains ont joué un rôle politique ou exercé des professions médicales. A travers l’histoire de cette famille, le lecteur découvre tout un pan de l’histoire du pays d’Ath.

    Jean-Pierre Ducastelle a rassemblé toutes les informations sur les carrières de Mévergnies et d’Attre depuis le 18e siècle. On connaît bien les pavés d’Attre largement mis en œuvre pour les cours et les trottoirs. Le bassin carrier a aussi produit de la chaux et un peu de pierre de taille. Il a occupé plusieurs centaines d’ouvriers dont on analyse ici les conditions de travail et de vie. Les maîtres de carrière sont issus de quelques familles bien connues dans la région comme les Declercq, les Spitaels, les Moroy, les Duchâteau. Cette dernière famille a aussi creusé une carrière souterraine à la fin de son exploitation.

    Ce volume est en souscription jusqu’au 30 juin 2021 au prix de 20€. Après la souscription, il sera vendu 25€. Il est distribué gratuitement aux membres du Cercle en règle de cotisation pour les années 2019 et 2020. Tout renseignement peut être obtenu aux Archives de la ville au 068/681.351 ou par courriel au :  musee.d.histoire@ath.be