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Dans sa volonté d’améliorer la qualité des infrastructures scolaires le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, a marqué son accord sur la prise en charge de subventions d’un montant total de 764.329,35 € afin de réaliser des travaux d’urgence au sein de 5 écoles.
Au sein des cinq établissements, on retrouve : Institut Technique de la CF Renée Joffroy de Irchonwelz (Ath) qui recevra la somme de 112.666,16 € pour le remplacement de l’ensemble des installations de distribution du gaz, pour la chaufferie et pour le hall de sports !
Dans le cadre du dossier de revitalisation du Quartier de la Sucrerie, les entreprises Thomas et Piron terminent leurs investissements concernant les logements à vendre de même que les équipements qui y sont relatifs.
La société Atenor qui a déjà fait ériger par la société Dherte, trois immeubles à appartements avec garages souterrains a donné pour mission à la société de construction de débuter en janvier 2017 le chantier de construction du quatrième ensemble de logements.
« Les travaux d’aménagement des abords et d’une circulation interne partant de la rue de la Sucrerie passant sous le porche et de l’ancienne sucrerie pour joindre le quai des Ecluses ont été confiés à l’association momentanée TRBA-Colas qui a récemment ouvert le chantier. Comme il en a été convenu, une passerelle surplombant le canal aux droits des écluses et prenant appui à la rue des Bâteliers, a été adjugée et commandée à la même association momentanée. Elle amènera les cyclistes, les piétons et les personnes à mobilité réduite à joindre le quartier du Faubourg de Mons au Square des Locomotives. Ce flux de
circulation de mobilité douce aura le choix entre se diriger vers le rond-point des Locomotives ou utiliser le tunnel sous-voie disposant d’une rampe pour personnes à mobilité réduite et à son extrémité opposée, d’escaliers permettant de joindre les quais d’embarquement et la rue de la Station." comme le dit la note du Collège.
Dans le cadre de récents entretiens entre le Ministre de la Mobilité, Monsieur Bellot, et la Direction de la SNCB, le Bourgmestre a obtenu qu’une convention de partenariat soit conclue entre la Ville et la SNCB.
Vous l'avez sans doute lu sur notre blog( Voir ICI et notre vidéo), un effroyable accident est survenu au restaurant " Aux Mets Encore " avec un convoi agricole venu s'encastrer dans la façade du restaurant aux "Mets Encore"... Le patron nous informe l’info suivante « Le restaurant sera à nouveau ouvert probablement à partir de ce mardi 22 novembre. Nous remercions d'ailleurs l'entreprise de Michel Cuvelier d'avoir stabilisé l'ensemble de la structure endommagée et d'avoir fermé le bâtiment... Encore quelques jours de nettoyage et l'équipe du restaurant sera heureuse de pouvoir à nouveau vous y accueillir afin de vous proposer ses bons mets renommés dans la région ! »
L’arthrose, une maladie des articulations caractérisée par la perte progressive du cartilage.
22% de la population souffrent d’arthrose. De plus, elle est un facteur de risque d’autres maladies comme le diabète de type II ou les maladies cardio-vasculaires.
Les coûts générés par cette maladie sont estimés à 1-2% du PIB des pays industrialisés. Bien soigner l’arthrose, est donc un enjeu sociétal. Il est donc important de chercher des solutions à ce problème. La recherche avance rapidement dans ce domaine, et de nouveaux traitements sont en cours développement.
La conférence donnée par le Professeur Yves Henrotin, abordera les causes de la maladie, ses conséquences sur la santé, mais aussi les traitements en insistant sur les thérapies innovantes et plus particulièrement sur le savoir-faire liégeois dans ce domaine.
Yves HENROTIN est Professeur à l’Université de Liège. Il enseigne la pathologie générale, les techniques particulières de kinésithérapie, la thérapie manuelle, et la didactique spéciale et professionnelle (AESS et CAPAES). Il est également le directeur de l’Unité de Recherche sur l’Os et le Cartilage (UROC). Enfin, il est le chef du service de kinésithérapie et de réadaptation fonctionnelle de l’hôpital Princesse Paola de Marche-en-Famenne.
Cette conférence très intéressante du professeur Henrotin, aura lieu au Palace, ce mardi 22 novembre à 14 h 30.
A la veille de l’hiver, le blackout est-il toujours d’actualité ou est-il passé aux oubliettes ?
Quels sont les risques pour notre région, quelles mesures la commune a-t-elle prévu, comment y faire face ?
Nos habitudes de consommation ont-elles réellement un impact, les économies d’énergie des citoyens pourraient-elles éviter une pénurie d’électricité ?
Toutes ces questions seront abordées lors de la conférence de ce 22 novembre, organisée par le service énergie du CPAS, avec le soutien de la région wallonne.
L’objectif de cette rencontre est de distinguer le vrai du faux et de sensibiliser tout un chacun sur son pouvoir d’action face à une problématique qui touche tout le monde : l’accès à l’énergie.
Pour ce faire, le CPAS a invité l’asbl Proénergie qui définira la notion de blackout et expliquera le plan de délestage et les économies réalisables à chaque niveau de la société.
La séance débutera à 19h30 au cinéma l’Ecran pour se terminer vers 21h30 par un verre de l’amitié.
Pour toute information : CPAS d’ATH, boulevard de l’Hôpital 71 à 7800 ATH, tel : 068/26 97 29.
Adresse du jour : Cinéma « L’Ecran », rue du Gouvernement à ATH.
Ce samedi à l’occasion du 75e anniversaire de Jean-Pierre Ducastelle ainsi qu’au 20e anniversaire de sa présidence. Le Cercle royal d’Histoire et d’Archéologie d’Ath ont fêté leur historien et pour cet évènement, Christian Cannuyer, Adrien, Dupont, Laurence Debrackeleer, et Laurent Dubuisson et d’autres encore ont édité un volume d’hommage en son honneur. Sans oublier les géants mafflous qui ont rendu un hommage au mafflou qu’est Jean-Pierre !
Il y a 10 ans, nous avions rencontré Jean-Pierre Ducastelle et aujourd’hui nous reproduisons l’interview de l’époque et on peut dire que 10 ans plus tard, l’interview n’a pas pris une ride !
« Je me suis toujours intéressé à la littérature, l'histoire et le français. De plus, j'avais une très bonne mémoire »
C'est au cœur de la pierre de Maffle que l'historien et archiviste Athois Jean-Pierre Ducastel a vu le jour le 20 novembre 1941. On pourrait croire que l'homme est dur comme pierre mais non, il est profondément humain, il a été marqué par le monde ouvrier surtout celui des carrières. Sans enfant, il a toujours gardé ce côté rêveur ou petit l'histoire et les géants de sa région le fascinaient déjà. Malgré les nombreuses récompenses et reconnaissances par ses pairs, il restera à jamais un père pour les Athois.
Quels sont tes premiers souvenirs de ton enfance ?
Je me souviens vaguement de la guerre ainsi que d'avoir assisté à des bombardements. Cela n'est pas très précis car je devais avoir trois ou quatre ans. A la fin de guerre, j'ai des ressouvenances que nous étions refugiés dans les caves, cela m'a marqué profondément ensuite. Après évidement, c'est mon entrée à l'école gardienne.
Comment se sont déroulés tes premières années au sein de l'école ?
Cela s'est bien déroulé parce ce que je me plaisais et j'apprenais bien à l'école. De plus j'avais un excellent contact avec le maitre de l'époque Mr Surquin qui nous faisait bien progresser ! Il était assez humain, ouvert mais avec beaucoup de discipline, de rigueur et un grand sérieux dans son travail.
Gardes-tu un beau souvenir de l'enseignement ?
En général, je garde de bons souvenirs de l'école malgré quelques petits accrocs scolaires. Dans l'ensemble de la vie scolaire, j'ai bien réussi. Dans l'enseignement primaire, j'ai toujours été un premier de classe. Dans l'enseignement secondaire, c'était un peu moins bien car j'étais à l'Athénée et c'était plus difficile. De plus, j'ai eu quelques difficultés d'adaptation, paradoxalement d'ailleurs, une année ou deux en français puis cela a été beaucoup mieux mais j'ai terminé avec un pourcentage assez élevé !
Ce que tu es aujourd'hui, le prédestinais-tu déjà lors de ton enfance ?
Je me suis toujours intéressé à la littérature, l'histoire et le français. De plus, j'avais une très bonne mémoire, j'enregistrais bien cette matière et je me suis très vite orienté dans cette voie !
Mafflou dans le coeur et dans l'âme, tu as vécu dans un monde ouvrier où la pierre était omniprésente. Que gardes-tu de cette période ?
Il y a beaucoup de chose en rapport avec les carrières. Toute ma famille était des tailleurs de Pierre à l'exception de mon père (il y avait été ouvrier-carrier dans sa jeunesse) qui a repris l'exploitation agricole de ses beaux-parents. Cela m'a marqué profondément car dans notre entourage nous parlions souvent de ce travail. De plus l'école se trouvait au bord de la carrière rivière ! À l'époque, pour moi les carrières c'étaient déjà un lieu qui m'intéressait parce ce que c'était un lieu de travail mais aussi un site naturel. Il y avait un côté magique. Les carrières nous accrochaient beaucoup. Sur l'heure du midi quand les ouvriers descendaient le pont de la cure, c'était assez impressionnant ! Les carrières on été ma jeunesse et une grosse partie de ma vie. Ce fut quelque chose de vivant, présent. Finalement c'était un endroit pittoresque ! P
Petit, t'intéressais-tu déjà aux géants ?
Oui, chaque année je me rendais chez ma tante, la sœur de mon père, qui était mariée à un coiffeur installé à la rue aux « Gades ». Donc chaque année je regardais la ducasse d'Ath et j'étais dans le coup très jeune. Par contre je connaissais plus les géants mafflous Zante et Rinette qui étaient remis chez moi, j'ai pu les découvrir et y entrer à l'intérieur. Cela m'a marqué profondément !
Passion :
Président (entre autres) du Cercle d'Historique et d'Archéologie d'Ath.
Comme il le cite lui-même « Petit, l'histoire m'intéresserait déjà ». Il y a plus de 40 ans qu'il est aux commandes de ce cercle. Quand nous lui nous posions la question qu'aimerai-t-il qu'on retienne de lui « Qu'on garde de moi que je fus un historien et que j'ai un petit peu (modeste avec cela) contribuer à la mise en valeur de la ville et des géants. Si on retient déjà cela, ce ne sera pas mal ! »
Pour sa 6ème édition, le Festival #Zéro>18 s’invite à Ath le dimanche 20 novembre.
Une journée de fête, d’amusement et de plaisir pour permettre aux enfants et aux jeunes, mais aussi aux parents, de faire connaissance avec leurs droits. Cerise sur le gâteau, toutes les animations sont GRATUITES.
Le Festival #ZÉRO>18 célèbre la « Journée internationale des droits de l’enfant » qui se tient chaque année le 20 novembre. L’occasion de faire découvrir la Convention internationale des droits de l’enfant aux premiers concernés, de manière ludique et festive. Adoptée à New York par les Nations Unies le 20 novembre 1989, cette convention a été ratifiée par la Belgique et la plupart des pays du monde.
La liberté d’expression, le droit à l’information, l’épanouissement personnel, le droit aux loisirs, le droit à l’information (la compréhension des autres cultures, la production de livres pour enfants), le droit au développement et évidemment les droits culturels… Voici quelques articles qui composent la convention internationale des droits de l’enfant, le Festival ZÉRO > 18 a pour objectif de conscientiser les enfants et les plus grands à leurs droits.
Les jeunes prendront pleinement possession de leurs droits puisque les 4ème et 6ème primaires de l’Institut Saint-François, les 5ème primaires de l’Athénée Royal d’Ath et les 4ème secondaires de l’Institut Saint-François et de l’Athénée Royal d’Ath, investiront la scène du Palace pour interpréter leurs créations, suite à des animations menées dans leurs classes.
Durant cette journée, de nombreuses activités gratuites destinées à toute la famille permettront de partager, ensemble, les visions respectives des droits des 0 à 18 ans.
Infos pratiques
Dimanche 20 novembre à partir de 10h
Au Château Burbant, au Palace et l’Espace Gallo-romain d’Ath
Toutes les informations sont disponibles sur www.mcath.be
Centre des arts de la rue : Alain Coulon/ 0496 97 32 81
Pompiers : 068 28 52 30
Protection civile : 065 35 43 00
Agence fédérale de contrôle nucléaire: 02 50 28 999
S.O.S pollution : 070 23 30 01
Problème de gaz odorisé : ORES au 0800 87 087
Problème de gaz sans odeur : Prévenir Fluxys (transport de gaz) 0800 90 102
Panne d'électricité : ORES au 078 78 78 00
Distrigaz : 02 282 72 11
S.W.E à partir du vendredi 16h30 : 0495 57 02 33
Hôpital : 068 26 21 11
Gardes médicales : 1733
Pour le poste médical " Val de Dendre" Cliquez ICI
Voici les pharmacies de garde du week-end entre 9h et 22h.
Les 19 et 20 novembre
Pharmacie Decrucq
Jusqu’à 22hrs
Rue De Nazareth, 1
Ath
Tél : 068/28 23 42
Pour connaître la pharmacie de garde durant la nuit,
entre 22h et 9h, appelez le : 0903 99 000
Coût de l'appel : 1,5 euro par minute
Afin de pouvoir vous renseigner avec exactitude, nos téléphonistes doivent connaitre votre localisation. Pour limiter la durée et le coût de cet appel, veuillez indiquer à la téléphoniste le code postal ou la localité et le nom de la rue à partir de laquelle vous souhaitez vous rendre dans la pharmacie de garde la plus proche.
Les musiciens, musiciennes, membres de la clique & les majorettes de la Royale Union des Fanfares Sainte Cécile de Moulbaix & ses majorettes vous invite à venir fêter leur Sainte patronne le dimanche 20 novembre à 10h00 en l'église Saint Sulpice de Moulbaix.La fanfare sera sous la direction de Mr Raphaël Hertsens.
Au programme:
Entrée: La Brabançonne
Promenade and Gnomus
Lecture: Ballet of the Chicks in Their Shells
Offertoire: Il Vecchio Castello (The Old Castle)
Communion: The Great Gate of Kiev
Sortie : Music
Feuerfest ! (polka française)
La cérémonie sera suivie par "le" verre de l'amitié en la salle du Patronage.
Les fêtes de fin d’année approchent. C’est sans doute ce qui a inspiré Dominique Pilate, le boss de la société l’Amicale des Acteurs du Faubourg de Tournai. En effet, les comédiens joueront une opérette comique qui s’intitulera « Noël à l’Hôpital » les 19 et 20 novembre.
Cela fait deux ans que Dominique a pris le relais de Christian Demarbaix pour l’écriture et la mise en scène.
« Depuis que j’ai repris le groupe, nous avons décidé avec Raphaël Hertsens de dépoussiérer et de moderniser l’Amicale », explique-t-il. « Et cela, dans les tous compartiments : la mise en scène, l’écriture et également dans les choix musicaux. En 2015, nous avions jouée du reggae, du rock et cette année, il y aura encore des surprises musicales ! »
Du Palace au Roland
L’Amicale a envie de revenir à ses anciennes valeurs : être plus proche de son public. Les pièces de théâtre de l’Amicale sont jouées en patois d’Ath. « La grosse difficulté est la concentration. Avant de jouer les dialogues en patois, nous jouons la pièce en français afin que les non-initiés la comprennent bien », précise Dominique, avant de souligner : « nous préparons cette pièce depuis le mois de septembre et cela, à concurrence de deux à trois répétions par semaine. Et cela représente un gros investissement pour les personnes qui, je le répète, sont tous des bénévoles. Et pour eux, conjuguer le boulot et les répétitions; ce n’est pas toujours évident. »
Depuis 2015, l’Amicale a déménagé et dorénavant, elle ne jouera plus au Palace mais à la salle Georges Roland.
« La première raison est logistique. Nous ne devrons plus employer un camion pour transporter les décors, les costumes. La seconde, c’est pour raison financière. De plus, la salle Georges Roland a été rénovée : cette salle est plus conviviale et plus adéquate pour l’Amicale ».
La troupe retrouve petit à petit le sacre des années passées,et aussi la joie de jouer. Et cela pour le plus grand bien des Athois.
Alors, rendez-vous les 19 et 20 novembre pour les apprécier!
Infos :
Quand : Le samedi 19 novembre à 20h et le dimanche 20 novembre à 16h
Où : A la salle Georges Roland, rue Hennepin, 12 Ath
Quoi : Opérette comique en 3 actes : Noël à l’Hôpital
Les réservations doivent se faire auprès de Mary Pilate : 0498/40.54.27 ou 068/44.54.88 après 17h. Les préventes sont disponible au café « Le bon coin » chaque dimanche de 10h30 à 13h : 068/84.34.78 ou 0496/99.40.66. Prix adulte : 10€ et gratuit pour les enfants de moins de 12 ans.
Voici la genèse de la pièce en patois athois, « Noël à l’hôpital », écrit par Dominique Pilate :
« Un soir de Noël, règne dans l’hôpital une activité fébrile. Bertrand, le nouveau directeur de l’hôpital, a bien des soucis à se faire. En effet, cause des mauvaises conditions climatiques, son nouveau médecin chef n’arrivera pas à temps pour prendre ses nouvelles fonctions. Yvette, sa femme, ne pense qu’à jouer les nouvelles riches. N’ayant pas d’autres solutions pour assurer le service pendant les fêtes de Noël, Bertrand est obligé d’accepter Désiré Kachémois, étudiant noir en dernière année de médecine, pour assumer l’intérim des urgences en attendant son confrère. Celui-ci arrive en catastrophe car son grand-père Polyte, sorcier vaudou, arrive tout droit d’Afrique afin de lui prouver que sa médecine est plus puissante que la médecine traditionnelle. Pour détendre l’atmosphère un peu tendue, le personnel décide d’improviser une petite fête afin de l’encourager dans sa nouvelle fonction temporaire. Malheureusement, les catastrophes vont s’enchaîner les unes après les autres avec un rythme effréné... »
Suite aux propos du futur ex-président du MR Athois Renaud Garnier( Voir ICI), on attendait et se demandait comment allait réagir les mandataires du MR Athois. Tard dans la soirée comme Renaud Garnier, ils ont envoyé un communiqué donc voici la teneur. En résumé, tout va très bien Mme la Marquise et meme que l'on recommence et on oublie tout
« Suite aux assertions de l’ex-président de la section locale et ex-conseiller du CPAS, M. GARNIER, les mandataires du MR ATH tiennent à marquer leur incompréhension et leur désaccord quant à ses propos. Ils souhaitent apporter quelques précisions : En agissant sans l’aval des représentants MR, l’ex-président et ex-conseiller du CPAS, M. GARNIER, s’est exprimé à titre strictement personnel et ses propos n’engagent ni les mandataires ni les membres du comité qui en ont été informés par la presse. Pour rappel, la décision de monter dans la majorité a été prise en 2012 par le comité à une majorité de 78% des votes. Le travail de réflexion sur notre participation à la majorité a eu lieu à mi-mandat. En novembre 2015, un bilan intermédiaire a été dressé. Le comité avait à nouveau décidé unanimement de poursuivre dans cette voie. Nous restons dans le même état d’esprit : pour faire avancer nos idées c’est toujours mieux d’être dedans que dehors. Même si une fois dedans, on sait que l’on va être critiqué et que l’on va devoir assumer nos choix et avoir le courage d’endosser nos responsabilités vis-à-vis de nos sympathisants et de la population. Les mandataires MR déplorent les déclarations à l’emporte-pièce et singulièrement le manque de considération et d’objectivité quant à leur travail quotidien et leur implication permanente que ce soit au conseil communal ou au cpas depuis déjà 4 ans. Chacun a droit à sa liberté d’expression mais le respect de choix démocratiques faits par le comité du MR Ath depuis 4 ans fait partie de notre engagement en tant que groupe.
Si quelqu’un estime être en désaccord avec ces choix, il doit être cohérent et soit observer un devoir de réserve, soit faire un pas de côté. Par ailleurs, les responsables MR doivent souscrire à une charte de valeurs. Ce à quoi M.Garnier avait souscrit. Enfin, les attaques ad hominem sont regrettables parce qu’elles ne font pas avancer les choses, encore moins nos idées.
Ce mode d’expression ne fait pas partie de notre façon d’être, encore moins de notre manière de faire de la politique. Les élus se doivent d’avoir un comportement exemplaire. A fortiori un président de section locale et mandataire local.
Inutile donc de commenter ce dérapage regrettable et incompréhensible dans le chef d’un ex-président et ex-mandataire qui a occupé la présidence pendant 4 ans en ayant la charge de mettre en œuvre les choix du comité et qui aujourd’hui se désavoue et se renie.
Cet incident a permis de renforcer notre cohésion. A l'unisson, notre chef de file au conseil communal garde notre confiance.» Les mandataires MR au conseil communal et au CPAS
La messe de sainte Cécile sera célébrée le samedi 19 novembre à 18h30 en l'église Saint Martin par Monsieur le Doyen Xavier Nys. Une belle occasion pour la fanfare Royale Union Saint Martin, sous la direction de Jacques Delporte, de partager un moment musical avec les paroissiens. Nous aurons, entre autres, l'occasion d'interpréter des airs qui inspirent grandeur et solennité comme "Canterbury Choral" du compositeur belge Jan Van der Roost ou "Crown impérial" de William Walton, composé à l'occasion du couronnement du roi Edward VIII.
Pour une raison encore indéterminée, un tracteur s’est encastré ce matin vers 9h avec sa citerne d’eau dans la façade d’un restaurant à la chaussée de Bruxelles à Ghislenghien, à hauteur du carrefour avec la N57. De nombreux embarras de circulation sont en cours. Des déviations ont été mises en place. Ce n’est semble-t-il pas le premier accident de ce genre qui survient contre la façade du restaurant.
Les vendredi 18 et samedi 19 novembre à 20h et le dimanche 20 novembre à 16h, la Troupe du Huit présente à la Salle Léon Dubois de l’académie d’Ath, « La Vague » de Wim Verbeke dans une mise en scène de Jean-François Massy.
Un professeur de lycée, face à la conviction de ses élèves qu’un régime autocratique ne pourrait plus voir le jour dans nos pays démocratiques, décide de faire une expérience dans le cadre de ses cours. Un jeu de rôle grandeur nature se met alors en place. Construite comme une communauté, la vague, rassemblée autour d’un symbole, d’un salut, d’un uniforme, et de règles, s’étend rapidement à l’extérieur de l’école. En quelques jours, ce qui n’était que de simples notions tel que l’esprit communautaire et la discipline se transforment en un réel parti politique.
Sur scène, vous retrouverez Alice Briegleb, Estelle Cotton, Sophie Decaestecker, Louise Dumont, Céline François, Raja Mananne, Nicolas André, Lorry Beth, Cyrille Chevalier, Romain Massy, Flavio Milville, Thomas Spinette. Salomé El Asfahany, Loïce Gandibleux, Jeanne Hoegener, Amandine Legrand, Margaux Mesotten et Thomas De Muijlder.
Réservations obligatoires au 068/84 33 54.
Entrées : Adulte : 9€ / Etudiants : 6€ / Moins de 12 ans : 2,50€