Depuis plusieurs années et avec l’augmentation de la fréquentation du parc Pairi Daiza, le trafic routier n’a cessé d’augmenter, entraînant par la même occasion des désagréments de plus en plus importants pour les habitants des villages aux alentours.

Et pour Géry Baele, Président Navetteurs.be, il y a des pistes « Il existe des alternatives à mettre en place, à moindre coût et en privilégiant un moyen de transport structurant et écologique comme le train en lieu et place de bus spéciaux, comme nous avons pu en prendre connaissance ces derniers jours dans la presse, avec un coût estimé à plusieurs millions d’euros, des travaux conséquents, et qui viendraient s’ajouter au trafic automobile. »

Navetteurs.be étudie le dossier depuis 2019

Les récentes sorties dans la presse poussent l’association de voyageurs Navetteurs.be à réagir concernant ce dossier qu’elle étudie depuis plus d’un et demi au travers de réunions informelles avec des responsables de Pairi Daiza mais dont elle n’a jamais dévoilé l’existence afin de ne pas compromettre le projet : « En août 2019, nous avons eu les premiers contacts avec des responsables du parc afin de leur soumettre notre projet. Sachant qu’il est question de construire une deuxième entrée à proximité immédiate du quai numéro 1 de l’arrêt de Cambron-Casteau, des aménagements piétons pourraient y être réalisés à moindre coût et favoriseraient l’accès en train », commente Julien Laporte, vice-Président de l’association.

Contacts avec SNCB et Infrabel

« Nous avons eu des premiers contacts avec le parc, et nous avons soumis l’occasion de soumettre des projets tant du côté de la SNCB que d’Infrabel qui avaient marqué de l’intérêt pour celui-ci à condition que les aménagements à charge de Pairi Daiza, et notamment la création d’une deuxième entrée, puissent être réalisés. »

Une offre en train déjà renforcée en saison

« Encourager l’utilisation du train fait bien évidemment partie des missions de notre association. Nous savons que de son côté la SNCB met déjà en place une offre renforcée de trains directs vers le parc au départ de Bruxelles et en correspondance avec diverses gares de province. La priorité doit être mise sur les solutions de mobilité existantes comme le train et qui permettraient de soulager la congestion automobile dans la Région. Nous sommes bien évidemment disposés à en discuter avec les divers acteurs », conclut Julien Laporte.

Dans le cadre de la campagne de vaccination Covid-19, le Centre de vaccination de Ath constitue  une réserve de recrutement d'agents d'accueil (h/f/X) en vue de son ouverture fin mars.

40 postes sont a pourvoir au centre de Ath (le nombre de poste est mentionné à titre indicatif).

Durée d'occupation de 6 mois au minimum.

Vos principales activités :

Contrôler l'accès aux centres de vaccination et effectuer le premier filtrage (port du masque, absence de fièvre, détention d'une invitation avec numéro de vaccination, de la carte d'identité) ;

Veiller au respect des consignes et des gestes barrières dans le centre ;

Accueillir et répondre aux éventuelles questions des citoyens et les orienter ;

Assister les personnes à mobilité réduite à entrer dans le centre ;

Superviser la salle de repos/surveillance post-vaccination.

Votre profil

Expérience professionnelle

Métier : Agent d'accueil

Secteur : pratique médicale

L'expérience n'est pas exigée.

Description

Vous êtes flexible et vous êtes capable de vous rendre dans le centre de vaccination dans les horaires tels que précisés ci-dessous.

Contrat

Régime de travail : Autre régime

Horaire : Les heures seront à prester entre 8 et 20h, en semaine et le week-end.

En fonction de votre statut actuel, différents types d'occupation pourront vous être proposés : contrat de travail, indépendant, reprise d'activité en tant que pensionné, bénévolat, etc...)

Type : Recrutement services publics (6 mois)

Pour postuler, remplissez le formulaire Forms (site tiers, nouvelle fenêtre).

Contact :

Le Centre de vaccination Covid19 de la région de Ath

entreprises.walloniepicarde1@forem.be

Georgette Scops a célébré ses 105 ans ce vendredi 12 février chez elle le long de la chaussée de Tournai à Ath. En effet, la dame née en 1916 à Ligne vit encore à domicile. « C’est ma troisième maison », nous a-t-elle précisé, tout sourire.

La Province de Hainaut fait de nouveaux pas en avant dans son approche environnementale ! Le Collège provincial a approuvé, ce 12 février, les lignes principales d’un plan de réduction du plastique à usage unique dans ses institutions et a pris connaissance d’une analyse des propositions avancées par son Assemblée des Jeunes pour répondre à l’urgence climatique. Des actions menées par le comité provincial du Développement durable, récemment mis en place.

Pour concrétiser la résolution prise par le Conseil provincial en 2019 « de limiter le plastique dans les institutions de la Province », le Collège hainuyer a souhaité confier à son administration un travail conséquent de photographie des situations de terrain et de recherche de solutions alternatives au plastique, dont on sait que seulement 30% est recyclé.

Le comité de Développement durable, constitué de spécialistes issus de l’administration, a rendu son état des lieux intégrant les alternatives possibles aux différents matériaux plastiques et identifiant de bonnes pratiques déjà mises en œuvre dans différentes institutions. Il a aussi défini une planification pour concrétiser l’élimination, d’ici 2024, de « tous les plastiques n’étant pas jugés indispensables ». Pour mener cette campagne essentielle, les services provinciaux ne seront pas seuls puisque la candidature du Hainaut a été retenue par la Wallonie pour bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du programme « Vers des organisations durables ».

« Soucieuse de s’inscrire résolument dans le développement durable, cette idée a fait son chemin et se concrétise aujourd’hui dans notre Institution. Quelques initiatives durables pourront bientôt être généralisés dans les services et établissements scolaires provinciaux : remplacer l’utilisation de gobelets, de couverts, de contenants de nourriture et de bouteilles en plastique à usage unique par des produits en matériaux plus durables, promouvoir l’installation généralisée de fontaines à eau du robinet, privilégier les gourdes réutilisables, poursuivre le tri des déchets, changer les habitudes en favorisant l’achat de matériel écologique et durable pour l’entretien et le nettoyage, le matériel de bureau, …
Le « Zéro plastique » sera bientôt l’affaire de tous en Province de Hainaut !" explique Serge Hustache, Président du Collège provincial.

Une dynamique est donc enclenchée et rejoint les travaux menés par les élèves de l’Assemblée des jeunes. Constituée d’élus représentant toutes les écoles provinciales, cette Assemblée bénéficie de moyens financiers pour améliorer le cadre de vie de leurs établissements dans une logique durable. Elle a aussi en juin 2020 déclaré l’état d’urgence climatique, une déclaration approuvée par le Collège provincial, avec en ligne de mire la neutralité carbone. Les propositions de l’Assemblée bénéficieront de l’expertise du Comité provincial du développement durable.

Les cimetières de Bouvignies, Irchonwelz et Ormeignies seront inaccessibles quelques jours

Des désaffectations auront lieu dans plusieurs cimetières athois à partir du 8 février.

Par conséquent, ils seront fermés selon le planning suivant :

Bouvignies : du 8 au 10 février inclus

Irchonwelz : du 11 au 16 février inclus

Ormeignies : du 16 au 19 février inclus

Le gouvernement fédéral et les gouvernements des entités fédérées ont discuté aujourd’hui de la situation du coronavirus au sein du Comité de concertation. Le Comité de concertation a décidé que les salons de coiffure pourront rouvrir selon des conditions très strictes à partir du 13 février, et que les activités de plein air dans les parcs animaliers seront également autorisées à partir de cette date.

Aujourd’hui, la situation du coronavirus dans notre pays reste mitigée. Le nombre d’infections reste stable depuis le mois de décembre. Le nombre d’hospitalisations et de décès diminue légèrement. Il reste actuellement nécessaire de prévenir la propagation de variants contagieux du virus. Une extrême prudence est donc toujours de mise.

Le Comité de concertation reconnait toutefois aussi que les soins corporels contribuent indéniablement à un meilleur bien-être social et mental. C’est pourquoi les métiers de contact non médicaux pourront rouvrir progressivement. Les coiffeurs pourront reprendre leurs activités à partir du samedi 13 février. Les autres métiers de contact non médicaux, tels que les salons de beauté, de massage et d’onglerie, pourront redémarrer à partir du 1er mars.

Des conditions très strictes

La réouverture des métiers de contact non médicaux est soumise à des conditions très strictes et à des protocoles renforcés qui imposent notamment les aspects suivants :

• Temps d’attente de 10 minutes entre deux traitements, pour le nettoyage et la désinfection de la zone de traitement
• Obligation de travailler sur rendez-vous
• Obligation pour les clients d’attendre à l’extérieur
• Ventilation suffisante, par exemple en ouvrant les fenêtres et les portes
• Maintien de l’interdiction des services à domicile

Activités de plein air dans les parcs animaliers

À partir du 13 février, les parcs animaliers pourront ouvrir leurs portes selon les mêmes règles que les parcs naturels. Cela signifie, entre autres, que seules les activités de plein air sont autorisées et qu’un strict contrôle de l’accès sera prévu.

Maisons de vacances dans les parcs de vacances, les parcs de bungalows et les campings

Le Comité de concertation a également pris note de l’arrêt du Conseil d’État du 2 février concernant les maisons de vacances dans les parcs de vacances, les parcs de bungalows et les campings. Conformément à l’arrêt, ces parcs pourront reprendre leurs activités à partir du 8 février selon les mêmes conditions restrictives que les autres types de logement. Cela signifie, entre autres, que leurs restaurants, bars et autres installations communes devront rester fermés.

L’immobilier

Le Comité de concertation a également confirmé sa décision antérieure d’autoriser les visites de biens à partir du 13 février dans le cadre des activités immobilières des agents immobiliers professionnels.

Vous trouverez plus d’informations sur: https://centredecrise.be/fr/news/gestion-de-crise/comite-de-concertation-reouverture-des-coiffeurs-partir-du-samedi-13-fevrier

Ils s’appellent Tom, Alice et Nina : trois enfants dont les aventures nous emmènent au cœur du monde de l’assainissement de l’eau, du zéro déchet, du tri, mais aussi de l’or noir… Ipalle relate leur périple par le biais de quatre bandes dessinées destinées aux 7 – 14 ans, histoire d’apprendre tout en s’amusant !

Si elles sont plus que jamais d’actualité, les thématiques relevant de la gestion des déchets et de l’assainissement des eaux usées peuvent parfois paraître ardues aux plus jeunes. L’intercommunale Ipalle, dont l’une des missions porte sur la sensibilisation à l’environnement, propose de les aborder par le biais de bandes dessinées. Quatre albums viennent ainsi de sortir de presse : « Enquête au recyparc », « Vacances en zone zéro », « A la conquête de l’or noir » et « Immersion totale ».

Dans ces aventures, trois jeunes protagonistes auxquels pourront s’identifier les petits lecteurs se lancent à la découverte de la prévention et du tri des déchets ainsi que de la préservation de l’eau. Ainsi, le petit garçon Tom, volontairement miniaturisé pour voler au secours de son chien Scotty, sera emporté avec l’eau de l’évier dans les égouts, puis les collecteurs, pour arriver à la station d’épuration… En suivant son périple, les lecteurs découvriront le parcours des eaux usées et les systèmes mis en place pour les épurer, mais aussi le cycle de l’eau, les astuces du quotidien pour préserver l’or bleu… Dans les autres albums, Tom et ses amies apprendront comment fabriquer à la maison l’or noir qu’est le compost, mais aussi tous ses bienfaits, ils partiront en vacances et relèveront des défis avec la joyeuse bande des 5 R-0, les héros du zéro déchet (refuser, réduire, réutiliser/réparer, recycler, rendre à la terre) et enfin, s’élanceront à la recherche du doudou perdu, du recyparc à l’Unité de valorisation énergétique de Thumaide en passant par les points d’apport volontaire…

Autant de notions techniques abordées par le biais du regard d’enfants curieux d’en apprendre davantage mais aussi soucieux d’agir pour préserver leur environnement. Cerise sur le gâteau, chaque BD se conclut par des jeux ou des idées de bricolage (hôtel à insectes…).

Produites par les équipes d’Ipalle avec la collaboration de la société estaimpuisienne Losfeld et illustrées par la jeune dessinatrice tournaisienne Melissa François, les bandes dessinées seront prioritairement distribuées aux écoles de Wallonie picarde et du Sud-Hainaut.

Elles peuvent aussi être dévorées par chacun en les téléchargeant ci-dessous. Bonne lecture !

1.2020-10-13-BD-eau.pdf

2.BD-Compost-Okbdef.pdf

3.BD-déchets-basse-déf.pdf

4.BD-ZeroDechets.pdf

Le Premier ministre Jean Castex prenait la parole depuis l’Elysée ce soir. Il s’exprimait à l’issue d’un conseil de défense. On s’attendait à un confinement mais ce n’est pas le cas. Par contre, le pays se ferme.

«Nous pouvons encore nous donner une chance d’éviter le confinement», a assuré vendredi le Premier ministre Jean Castex, lors d’une prise de parole depuis l’Elysée à l’issue d’un Conseil de défense.

« La question d’un confinement se pose légitimement compte tenu de ces données», en raison d’un «fort risque d’accélération» de l’épidémie, a reconnu le chef du gouvernement, en soulignant que «les prochains jours seront déterminants» pour prendre d’éventuelles nouvelles mesures.

Pas de confinement mais des mesures complémentaires ont été annoncées.

Plus d'infos en cliquant ICI ou sur le site  : Sudinfo.be

Ces chantiers initialement prévus en novembre, puis décembre, auront lieu la semaine prochaine. La N7 sera fermée à deux endroits différents dans le sens Leuze vers Bruxelles uniquement.

1)    À hauteur de la station Texaco de Villers-St-Amand, le vendredi 29 janvier, la circulation vers Ath sera déviée via la Place de Villers Saint Amand, la rue Probideau, la Place de Villers Notre Dame, le chemin des deux Villers, la rue de Bonne Fortune, la rue de la Chapelle, la chaussée de Valenciennes, le Boulevard de Mons, et la route de Flobecq pour reprendre la N7 à proximité du recyparc.

Par ailleurs afin d'éviter qu'ils ne soient saturés, les chemins de la Marquette et de l'Arbre vert seront provisoirement en sens interdit. Il sera possible de les emprunter en direction de la Chaussée de Tournai, mais pas pour quitter la N7.

Les commerces restent néanmoins accessibles (Stock, Hubo…)

2)    À la sortie vers Bruxelles du contournement, au Rond point formé avec la route de Frasnes et la rue aux Fleurs, du mardi 26 au vendredi 29 janvier, la circulation sera déviée via la rue aux Fleurs et la route de Flobecq pour rejoindre la N7 à proximité du recyparc.

Bruno Lefèbvre avait sollicité les Ministres compétents, à différentes reprises, afin de vanter les effets positifs pour les concitoyens d’avoir un centre de vaccination sur sa commune.

Le Bourgmestre d’Ath est fier d’annoncer la présence prochaine d’un centre de vaccination au Hall CEVA.

En effet, ce matin même, la Ministre Wallonne de la Santé, Christie Morreale, a officiellement informé la Ville d’Ath de sa décision d’implanter dans la cité un des centres de vaccination à destination de la population de la Wallonie.

« Nous sommes la 3ème ville de Wallonie picarde. Je mesure notre responsabilité et surtout l’importance et l’opportunité pour nos concitoyens de se faire vacciner au plus près de chez eux. » précise Bruno Lefèbvre.

Bruno Lefèbvre poursuit en soulignant la bonne collaboration entretenue avec Xavier Vancoppenole, Président de l’association des médecins généralistes de la région - qui aura la gestion de l’aspect médical du site - et les services communaux.

Déjà, les équipes de l’Administration d’Ath déploient toute leur énergie afin d’assurer la fonctionnalité du lieu. Concrètement, début mars - dans le calendrier fixé par l’autorité régionale - le hall du CEVA (Chemin des Primevères, 68) sera prêt à prodiguer des vaccins!

Enfin, si les autorités devaient augmenter la vitesse de vaccination dans les prochains mois, ce site permettra de multiplier les lignes de vaccination avec plus de facilité.

L’institut belge de santé Sciensano, dans le cadre de ses missions de surveillance, analyse les
données de COVID-19 collectées par son réseau de partenaires. Les données journalières
peuvent également être consultées sur la plateforme interactive Epistat et l’open data. Elles sont
mises à jour quotidiennement (7/7).
Quatre indicateurs sont utilisés pour suivre l’évolution de l’épidémie: cas confirmés,
nouvelles hospitalisations de cas COVID-19 confirmés en laboratoire, occupation des
unités de soins intensifs (USI) et décès. Les indicateurs clés se focalisent sur les dates de
diagnostic, de décès ou d’admission à l’hôpital. Le calcul de ces indicateurs utilise des
données de périodes de 7 jours, ainsi que leur comparaison. Les données des périodes
de 7 jours sont exprimées en moyennes journalières; l’évolution indique en % le
changement observé entre les deux périodes successives de 7 jours. 

La bière barrique est un type de bière artisanale élaboré à partir d’une technique de fabrication spécifique qui consiste à placer la boisson houblonnée en fûts de bois.

Mais des fûts et tonneaux ayant précédemment servi à vieillir d’autres alcools : vins ou spiritueux tel que le Whisky, le Rhum ou le Bourbon ! Original, non ? Mais pourquoi faire cela ? Parce que le fût va diffuser des arômes des alcools qui ont vieilli à l’intérieur.

C’est ce que les professionnels appellent “la mémoire du tonneau” et la “charge aromatique”. Le temps fait son œuvre et offre une boisson juste … exceptionnelle et charismatique ! Élémentaire mon cher Watson !

Mais cette technique n’est pas nouvelle : nos ancêtres les Gaulois conservaient la cervoise dans des tonneaux !

En effet, la foire d’hiver qui était prévue le troisième week-end de février est annulée comme nous l’a expliqué la présidente de l’Association des Commerçants, Ariane Desprez :

De plus, Mme Besanger de confirmer " Que depuis la deuxième vague , l'arrêté n'avait pas changé et je ne vois pas pourquoi cela changerait. Sans oublier que l'HORECA devrait rester fermé." 

et de poursuivre " Il faut savoir que nous avons effectué notre dernier foire à Tournai en octobre 2020 et mon filleul avec son attraction de pêche aux canards, n'a plus travaillé depuis le premier confinement, c'est-a-dire depuis le mois de mars 2020." 

La suite ne cliquant sur le site Nord-Eclair.be

Le gouvernement fédéral et les gouvernements des entités fédérées ont discuté aujourd’hui de la situation du coronavirus en Comité de concertation. Afin de lutter contre l'importation et la poursuite de la propagation de nouveaux variants du virus, le Comité de concertation a décidé d'interdire temporairement les voyages récréatifs/touristiques à destination et en provenance de la Belgique.

1. Limitation des voyages internationaux
2. Interdiction des voyages non essentiels

Les voyages à des fins récréatives/touristiques à destination et en provenance de la Belgique sont interdits du mercredi 27 janvier au lundi 1er mars 2021.

L'interdiction de voyager sera contrôlée tant au niveau du trafic routier, aérien, maritime que ferroviaire.

Les personnes qui se rendent en Belgique et en reviennent doivent être en possession d'une déclaration sur l'honneur. Un modèle de formulaire sera fourni par la ministre de l'Intérieur. La déclaration sur l'honneur doit être liée au « Passenger Location Form » des passagers et être étayée par les documents nécessaires.

Pendant la durée de l'interdiction, seuls les déplacements essentiels sont autorisés. Vous trouverez un aperçu des voyages autorisés sur:

https://centredecrise.be/fr/news/gestion-de-crise/le-comite-de-concertation-se-prononce-pour-une-interdiction-temporaire-des

Voyageurs en provenance du Royaume-Uni, de l’Afrique du Sud et de l’Amérique du Sud

À partir du lundi 25 janvier, tous les voyageurs entrant dans notre pays en provenance du Royaume Uni, de l’Afrique du Sud ou de l’Amérique du Sud devront obligatoirement respecter une quarantaine de dix jours et réaliser un test PCR le premier et le septième jour de cette quarantaine.

Double test à l’entrée

Le Comité de concertation souhaite que tout non-résident qui voyage vers la Belgique, se fasse à nouveau tester à son arrivée en Belgique, en plus du test négatif obligatoire préalable à son départ. Il pourra s’agir d’un test PCR ou d’un test antigénique rapide. Le Comité de concertation demande à la Conférence interministérielle Santé publique, à la Taskforce Testing et au Commissariat COVID-19 de concrétiser ce point.

Prolongation de l’isolement

Les personnes dont le test COVID-19 est positif devront désormais s'isoler pendant dix jours. Après un contact à haut risque ou un voyage vers notre pays, la période de quarantaine reste de dix jours. Cette durée pourra être réduite à un minimum de sept jours à condition de présenter un test négatif qui aura été effectué au plus tôt sept jours après l'exposition.

Perspectives pour les professions de contact non médicales

Dans l’état actuel de l’épidémie, il n’est pas encore recommandé de procéder à la réouverture des professions de contact non médicales. L’on pourra envisager une réouverture à partir du 13 février à condition que la situation épidémiologique continue d’évoluer positivement. Le Comité de concertation évaluera cette situation le 5 février. 

En outre, la réouverture des professions de contact non médicales ne sera possible que dans le respect strict des protocoles existants, complétés par une série de mesures supplémentaires, comme l’obligation de pratiquer les soins sur rendez-vous uniquement, l’enregistrement obligatoire des rendez-vous, l'obligation pour les clients d'attendre à l’extérieur et l'obligation de laisser les portes et les fenêtres ouvertes en tout temps.

Jusqu’au 8 janvier, l’unité pastorale « Bon Berger » d’Ath organise une exposition concours de crèches au sein de l’église de Mainvault.

Ce concours, qui fait désormais l’objet d’une exposition, était ouvert à tous et à toutes, comme nous l’a expliqué le responsable, Patrick Monnier : « Il y a quelques années, mon épouse a participé au même genre d’événement à Lessines. Elle m’a proposé de mettre l’initiative sur pied ici à Mainvault et d’en faire une exposition avec les enfants du catéchèse. Suite à cela, nous avons lancé l’idée avec d’autres enfants, mais aussi d’ouvrir le concours aux adultes de l’entité athoise. »

C’est ainsi que plus de 50 crèches de tous les horizons sont exposées actuellement au sein de l’église de Mainvault.

Des crèches d’écoles aussi

« Et je viens d’apprendre que nous allons encore en recevoir une dizaine. Ces crèches ont été élaborées par des enfants, des adultes et aussi des écoles de la cité des Géants qui se sont greffées au projet. Nous sommes très heureux de ce succès. À ce jour, nous avons eu pas de mal de visiteurs. »

Le concours sera divisé en plusieurs catégories. « Les visiteurs pourront voter pour trois catégories : les enfants, les écoles et les adultes.Une urne est disposée à cet effet », poursuit l’organisateur. Chaque lauréat recevra quelques surprises offertes par les commerçants du village, tous très heureux de cette initiative, car ils sont un peu les parents pauvres de l’entité athoise et ils ont voulu participer à leur manière à cette festivité. »

Pour Patrick Monnier, la seule chose qu’il désirait « c’était que les parents et les enfants fassent quelque chose ensemble pour la fête de Noël. C’était l’occasion pour les familles de prendre un petit de temps de réflexion et, pourquoi pas, de partager ce moment avec des petites attentions.

Exposition-concours de crèches du jusqu’au au 8 janvier à l’église de Mainvault, Place de Mainvault. Contact: 0472/887.582