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Les trolls Athois - Page 5

  • Jade Jorion est la millième affiliée de l’ASA

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    ASA,gymnastiqueCe 27 mai, l’Association Sportive Athoise de Gymnastique, mieux connue dans la région sous le nom d’ASA, organisera son traditionnel gala de gymnastique au Hall du CEVA. C’est l’occasion pour chacun de ses groupes sportifs, des plus jeunes aux plus aînés, de présenter leurs performances. Cette manifestation est progressivement devenue le spectacle comptant le plus de participants dans toute la région. ASA,gymnastiqueCette année le gala aura une saveur particulière puisque le club Athois compte aujourd’hui plus de mille affiliés. Il y a quelques jours, c’est la petite Jade Jorion, elle aura trois ans le 24 juillet, qui a eu cet honneur d’être la millième comme nous l’explique la maman Sophie Dessoignies « Jade fait de la baby danse. Depuis qu’elle sait marcher Jade adore danser et à chaque fois qu’elle entend de la musique  elle fait mine de se tremouser comme les grandes. De plus j’ai essayé de trouver une activité extérieure pour qu’elle puisse s’épanouir. » Et Sophie de poursuivre «  Pour cette âge c’est difficile de trouver un loisir. » Le pur hasard a fait que Jade a été la millième inscrite et les parents ne sont pas peu fiers de cet évènement. « Quand nous avons appris la nouvelle nous avons été tout surpris. Nous étions, son papa et moi très  heureux d’apprendre cette agréable nouvelle. De plus nous sommes contents qu’elle aime ce sport car Jade est un peu timide et nous avions quelques craintes mais toute de suite elle s’est adaptée à cet environnement qui était nouveau pour elle. » ASA,gymnastiqueDans le monde de la gymnastique et de la région et même au-delà d’Ath l’ASA est un club qui monte et qui a très bonne réputation. Mais le club Athois ne se limite pas à la gymnastique comme nous l’explique Alain Wielant responsable du club qui est tout heureux aujourd’hui de compter plus de milles membres « Cinquante pourcent de nos membres pratique la gymnastique mais l’ASA ce n’est pas que cela. Nous développons la gymnastique rythmique, la danse sous différentes formes, nous travaillons pour tous les âges et nous commençons avec la baby gym, la baby danse et cela à partir de 18 mois. » On le voit l’ASA aime mettre la barre très haute…Retrouvez ici toutes les photos de la répétition de la section " Baby-danse" ICI ou dans l'album ASADANSE

  • Salut l’ami….

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    Maxime DelfosseCe vendredi 13 mai à 10 heures en l’Eglise St Julien à Ath se dérouleront les funérailles de Maxime Delfosse décédé dans un accident de voiture. Ses amis sont toujours sous le choc après le départ de leur ami comme nous le déclare le chef-porteurs du Cheval Bayard Jean-Jacques Miclotte « C’était un élément dynamique et le boute-en train des jeunes. De plus cette année, il allait faire sa demande pour rentrer dans notre comité afin d’apporter un peu de jeunesse. Nous perdons un ami. Cette ducasse sera remplie d’émotion ». Il est vrai que cette année le groupe Bayard paye un lourd tribu avec le décès de la sœur (Marie-Line) de Bernard Vanacker. Il y a plusieurs années elle avait accompagné le Cheval Bayard comme porteuse de drapeaux. Ce dimanche, c’était au tour d'un porteur du Cheval Bayard : Maxime Delfosse. Pour l’avoir côtoyé je peux vous dire que Maxime était un chouette gars…toujours souriant il n’avait jamais un mot méchant pour qui ce soit. Mais que dire pour sa famille qui vient de perdre un être cher…la douleur est immense et sans cesse le mot comme « Pourquoi ? » reviendra et que répondre face à un tel désarroi ? Pas grand-chose ! Maxime on ne te dit pas adieu mais tout simplement au revoir et merci de nous avoir tant donné malheureusement nous n’avons pas eu le temps de te donner un peu nous… salut l’ami….

  • Les produits du terroir ont été en vedette sur la Grand-Place.

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    saveurs,coq,AthLa cité des Géants a accueilli durant trois jours une ferme en plein cœur de ville avec veaux, vaches, cochons et volailles et encore ce dimanche ! Le défi était de taille! La Grand-Place de la ville a résonné au chant du coq. Une foule d'animaux, de nombreuses animations et dégustations de produits fermiers ont été présentés. Avec les produits locaux nous avons tenté de vous concocter un menu avec les différents artisans du coin comme nous l’explique Romano Cavalier le responsable des produits locaux et du terroir de la région «  Bien sûr, nous ne pouvons pas composer ce menu tous les jours car cela lasserait les consommateurs que nous sommes. Mais il existe tellement de variétés locales que l’on pourrait effecteur un menu chaque jour avec uniquement des produits du terroir. » Avec la complicité de Romano Cavaliere nous avons choisi un menu et à chaque fois nous avons choisi notre artisan. Notre menu du jour est composé d’un apéritif, d’une entrée, d’un plat consistant et d’un dessert. Alors lisez-nous.

    saveurs, Ath1.  L’apéritif : il nous vient d’Ellezelles et est fabriqué par les Fines Saveurs du Pays des Colline dont Mme Mouton est la patronne «  Comme nous sommes dans la région d’Ath je conseillerai un vin rosé qui est macéré avec des feuilles de cassis. Ce breuvage se sert en apéritif ou en accompagnement d’un dessert et peut être mélangé avec du champagne ou un crémant. » Le prix d’une bouteille vous coûtera 11,85 euros et elle peut-être utilisée pour 4 personnes.

    saveurs, coq2.  L’entrée : nous vient en ligne droite de la Ferme Gourmande d’Oeudeghien chez M.et Mme Pierre et Christelle Bossut et elle nous propose une quiche à la vitelotte négresse « Cette recette est une ancienne variété de pomme de terre récemment régénérée. Elle est de couleur mauve dont le pigment naturel s’appelle Xanthophylle que l’on rencontre également dans le chou rouge. » Le prix individuel de cette entrée est 3,50 euros par personne. Coût total pour 4 personnes: 14 Euros.

     

     

    saveurs, coq,Ath3.  Pour le plat nous vous suggérons du jambon à l’os de la région de Boussu qui est fabriqué par la famille Picron comme nous l’explique Mme Picron « Notre maison est une boucherie à la ferme et tous nos produits sont fabriqués par nos soins comme notre jambon à l’os qui a reçu un coq de cristal à Libramont. Notre jambon est fait maison par mon mari qui le sale, le fume et le cuit dans un bouillon ce qui donne un goût plus prononcé. En général nous le conseillons avec une salade et des pommes de terre accompagnées d’une sauce moutarde ou béarnaise. De plus, il peut se manger froid ou chaud. » On peut compter +- 15 euros pour ce plat consistant puisque ce Jambon à l’os revient à 16,10 euros le kilo.

    saveurs,Ath,coq4.  Le dessert est toujours réservé pour la fin et il a été préparé  

    Par Vincent Cassel de Leval(Soignies) et c’est un cake à base  

    de farine d’épeautre « C’est un cake pur beurre et des œufs frais et la farine bien sûr. Nous avons également de la tarte à la rhubarbe et au sucre artisanale. Nous travaillons à l’ancienne avec du pur beurre sans additifs. Bien sûr, afin que cela ne soit pas trop lourd vous pouvez le garnir de fruits frais et aussi de crème fraiche. ». On peut estimer le cout de ce dessert à 8 euros pour quatre personnes. »Voilà nous venons de vous présenter un menu. Bon appétit.

  • Oh, Bonne Mère, il est fou de l’Olympique de Marseille

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    L’Athois Jérôme Salingue tout comme François Pignon est un fou de l’Olympique de Marseille. D’ailleurs, il n’hésite pas à effectuer des déplacements dans la cité cannebière mais aussi en Europe…pour suivre ce club cher à son cœur d’Athois.

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  • Il n’a su remplir dans son réservoir que 31,18 litres

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    Texaco, AthCe mercredi votre quotidien avait lancé un concours « un bon de 50 litres d’essence ou de diesel à remporter chez un de nos pompistes qui avait joué le jeu ». A Ath, c’est la patronne de la station Texaco Rosa Hallaert qui avait gracieusement offert les 50 litres. Le gagnant a été l’Athois d’origine tournaisienne Fabrice Cuignet habitant à Ath à la rue de l’Abbaye comme il l’explique « C’est via facebook que j’ai appris ce concours et j’ai tenté ma chance. Malheureusement, je n’ai pas su me servir des 50 litres. Il était trop tard pour je prenne d’autres dispositions. Il n’empêche que par les temps qui courent cela me fait plaisir. » En effet, il n’a su remplir dans son réservoir que 31,18 litres. Pour Rosa, on peut espérer qu’elle a gagné un client.

  • Le Rotary club d’Ath fait don de plus de 20.000 euros

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    Comme l’explique le responsable Mr Lesage « Nous remettons un chèque à la Rotary Fondation et Polio Plus pour l’éradication de la poliomyélite à Mr Schrans, membre du comité de district mais -à notre ami G.Duquesne, pour une action plus concrète de notre club : la rénovation d’une école Nabiso dans un quartier populaire de Kinshasa. » Mr Lesage de Continuer « Plus localement, le Rotary aide quatre associations bien implantées dans notre région, elles se dévouent quotidiennement pour toutes les générations : le Trèfle à Chièvres qui aide les enfants autistes et polyhandicapés,  Action Jeunesse Info et Santé d’Ath, Saint-Vincent de Paul qui intervient auprès des plus démunis, la Croix-Rouge qui rend tant de services et aussi plusieurs familles dans le besoin que nous avons aidées discrètement.Rotary, Ath,Associations

     

     L’intérêt que vous marquez à notre action est le signe de votre préoccupation comme la nôtre pour ceux qui éprouvent des difficultés dans la vie de tous les jours.  Et de poursuivre  «  Ce qui fait que bon an mal an, nous pouvons distribuer environ 20.000 euros. Aujourd’hui, cette rencontre de remise symbolique de chèques est aussi l’occasion de remercier les associations que nous aidons. Rotary, AthChaque groupement, beaucoup plus proche du terrain que nous, se rend compte des besoins des plus démunis. » Quelques rendez-vous du Rotary Athois : le concert de Lariguette au Palace,   une nouvelle organisation en septembre, le tir aux clays au château d’Attre, et sans oublier  la grande « opération tulipes »  qui verra 60000 tulipes  sortir de terre d’ici quelques jours  à la Chasse royale à Chièvres.

  • A l’époque, cela s’appelait « Paris-Beauté

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    La parfumerie Paris-Parfums est  aussi un commerce qui a vu le jour il y a plus de 40 ans. C’était en 1967 se souvient Nicole Hernalsteen la patronne «  J’ai débuté en 1967 mais c’était un salon de coiffure qui se trouvait a la rue aux Gades au centre ville. Par la suite, nous sommes déménages pour venir nous installer a l’endroit ou nous sommes aujourd’hui c’est-a-dire a la rue Ernest Cambier. C’est ainsi que nous avons succéder a Mr Odon Ghisselain qui était coiffeur depuis 1945 a cet endroit.  Odon a encore continuer deux années et c’est suite au départ a la retraite de Mr Odon que mon Mari a repris le salon de coiffure. » Paris, Parfums,AthIl faut dire que le magasin à la Place Ernest Cmabier était un double commerce : une parfumerie et un salon de coiffure. Le salon fermera ses portes définitivement en 1985 et sera remplacé par la parfumerie actuelle qui est toujours tenue Nicole Hernalsteen qui aussi la présidente de l’association des commerçants et artisans Athois(ACAA)  depuis 1996. A l’époque cela s’appelait « Paris-Beauté » qui est devenue paris-Parfums en 1987. Aujourd’hui ce magasin est un Parfumeur Conseil et un Institut de Beauté. Les années ont passées mais Nicole est quelque peu nostalgique comme elle nous explique « A l’époque, le contact avec le client était plus facile et agréable. On ne ressentait pas cette tension comme a l’heure d’aujourd’hui. Les gens ne prennent plus le temps de vivre. C’est une chose que j’ai remarqué et cela depuis les 5 dernières années. Ils sont tellement occupés. De plus, aujourd’hui, le client demande un plus grand professionnalisme de notre part et devient plus exigeant. »

     

     

  • "La première bijouterie a été ouverte en 1946 à Bouvignies"

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    Bijouterie, GoffinTout le monde connait sur la Grand-Place la Bijouterie Joaillerie, la maison Goffin. Là aussi, c’est une maison qui date comme nous l’explique un des deux patrons Benoit Goffin « Il faut dire que la première bijouterie a été ouverte en 1946 à Bouvignies ce n’est que plus tard en 1951 que mon père s’est installé sur la place d’Ath.Bijouterie, Goffin, AthIl faut savoir que l’on ne retrouvait dans la bijouterie du village que quelques réveils et des montres. Le profil du magasin n’avait aucune mesure avec ce que l’on trouve aujourd’hui dans notre bijouterie ». » Et Vincent de continuer « Au début, notre père avait une espèce d’armoire sans fond qui était exposée sur la vitrine. Il est vrai qu’à l’époque un commerçant quel qu’il soit pouvait débuter avec rien…Ce n’est plus vrai aujourd’hui. » C’est en 1951 que Paul Goffin et son épouse Yolande Fauquet sont arrivés sur la Grand-Place au numéro 28. Vingt-cinq ans plus tard, la perspective d’avenir était dessinée puisque leurs deux fils avaient décidé de se lancer dans le même créneau. C’est ainsi que la famille a effectué des travaux dans la bijouterie qui est toujours sur la Grand-Place. Depuis tous petits, les deux fils avaient l’intention de reprendre le commerce. Il ne faut pas oublier que la confiserie Pilatte et la famille Goffin font partie de l’association des commerçants depuis toujours.

     

     

  • Cette famille Athoise est installée depuis 1870 dans le domaine de la confiserie-Boulangerie

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    Cette année sera-t-elle faste pour les commerçants Athois ? L’association des commerçants et artisans d’Ath est très active au sein de la cité Athoise. Cette année sera exceptionnelle pour l’association car plusieurs dates seront mises à l’honneur : la 50ème édition de la foire commerciale, la 15ème élection de Miss Ath, la 15ème année de présidence pour Nicole Hernalsteen. Et cerise sur le gâteau le 100 ème anniversaire de l'A.C.A. Mais très peu ont résisté au cap de ces 100 ans.

    confiserie, pilate, Ath

    Il en reste encore quelques-uns comme la confiserie Pilate à la rue Pintamnont. Cette famille Athoise est installée depuis 1870 dans le domaine de la confiserie-Boulangerie comme nous l’explique Isabelle Pilatte « Il faut souligner qu’au départ, c’est-à-dire en 1870, ce magasin avait été géré par mon arrière-grand-père qui y tenait une boulangerie pâtisserie. Suite à la retraite mon arrière-grand-père, c’est mon grand-père, Jules Pilate qui repris le commerce au numéro 23. »

    Confiserie, Pilate, Ath

    Mais la deuxième guerre mondiale devait changer la donne au sein de la famille Athoise. En effet, le grand-père qui décéda durant la guerre avait deux fils et l’un des deux reprit le commerce familial tandis que le second, Charles Pilatte ouvra un autre commerce comme l’explique sa fille Isabelle «  Mon père, Charles Pilatte s’est dit on ne va pas ouvrir une seconde boulangerie. C’est ainsi qu’il est retourné à l’école pour embrasser le métier de chocolatier-confiseur.» La nouvelle aventure pouvait débuter pour Charles Pilatte qui n’allait pas en rester là et allait créer un bonbon que le tournaisis allait nous envier : Les macarons de la St Joseph qui en principe ne doivent se déguster que le 19 mars qui est la fête des menuisiers, un peu comme la tarte à Masteille lors de la ducasse d’Ath « Les macarons de la St Joseph sont une spécialité Athoise qui a été créé avant la guerre. En effet, il y avait quelques athois qui fabriquaient des macarons représentant le copeau de bois du menuisier. En réalité, le macaron c’est du sucre qui est tiré et qui est ensuite tourné. » Nous dit Isabelle. Plus tard, le papa d’Isabelle a continué à fabriquer ce bonbon un peu spécial et l’a même amélioré en produisant un macaron au chocolat une spécialité maison. Une recette très familiale puisqu’elle date de 1870. Aujourd’hui, un autre dérivé du macaConfiserie, Pilate, Parachuteron a vu le jour c’est une sucette parachute et comme son nom l’indique, elle a la même forme, est fabriquée artisanalement et est une exclusivité familiale. Une sucette qui a été mise à toutes les sauces…. A ce jour, Isabelle Pilatte est la quatrième génération….

  • " Le rôle premier de l’association est de faire bouger sa ville"

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    Foire Commerciale, Artisants, Ath, ACAA

    Cette année sera-t-elle faste pour les commerçants Athois ? L’association des commerçants et artisans d’Ath est très active au sein de la cité Athoise. Cette année sera exceptionnelle pour l’association car plusieurs dates seront mises à l’honneur : la 50ème édition de la foire commerciale, la 15ème élection de Miss Ath, la 15ème année de présidence pour Nicole Hernalsteen. Et cerise sur le gâteau le 100ème anniversaire de l'A.C.A. " L’association des commerçants et artisans de Ath a vu le jour le 15 mai 1911. L’objectif premier pour les créateurs de l’asbl était non seulement de soutenir les intérêts professionnels des commerçants et artisans d’Ath mais aussi d’organiser des fêtes et réjouissances en vue de développer le commerce athois" comme le souligne la présidente Athoise. Cent ans plus tard, les objectifs sont restés les mêmes. Nicole de continuer " Le rôle premier de l’association est de « faire bouger sa ville un maximum afin que tous les athois se sentent bien dans leur cité ». Pour atteindre cet objectif audacieux, l’ACA organise différentes activités tout au long de l’année. Une des plus grandes activités de l’association est sans nul doute la foire commerciale. Les anciens membres, toujours actifs à des degrés divers, se souviennent des premières éditions avec nostalgie." Initialement, les premières éditions de la foire se déroulaient dans les bâtiments de l'usine à carton devenu Institut Vauban par la suite. Cet évènement avait été créé à l'initiative de l'A.C.A. et remporta dès la première année un vif succès. Infos: Durant quelques jours, plusieurs articles parleront des plus anciens commercants de la ville d'Ath. Demain, débutera notre série  

     

  • Le sapeur-pompier Georges Blavier tire sa révérence

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    Pompier, homme de feu, Ath

    Ce vendredi, à l’arsenal de la cité des Géants,  les pompiers Athois  ont remercié le Sapeur Georges Blavier pour ses 40 années passées au sein du Corps des pompiers. Agé de 60 ans, Georges a débuté comme homme du feu en 1970. Après une carrière bien menée, Georges avait envie de retrouver un peu de quiétude auprès de son épouse. Les autorités communales et le Commandant Michel Di Silvestro ont tenu à saluer l’homme mais aussi son épouse. L’Amicale des Pompiers Athoise a tenu à être associé à l’évènement et a félicité Georges pour sa brillante carrière.

     

  • « Je crois que je servirai mieux la population en étant chef de corps »

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    Police communal et fédéral

    Frédéric Pettiaux, 45 ans est le nouveau Commissaire Divisionnaire de la maréchaussée Athoise et il a pris ses fonctions avec faste mais cela n’est pas la chose qu’il préfère mais comme il le dit « Il faut y passer ». Cet homme à l’aspect baroudeur n’est pas le premier venu (Voir son CV ci-dessous) mais son titre le plus significatif aura été celui de chef de la division de recherche anti-terroriste(DR3) de la PJF de Bruxelles. A ce titre, il a notamment coordonné les enquêtes découlant des attentats du 11 septembre 2001. Mais qu’est-ce qui a motivé cet homme à venir à Ath « C’est un choix mais n’allez pas croire que cela a été une chose aisée. Il a fallu que je me remette en question malgré mon expérience dans les branches de la police fédérale. Mais mon résonnement était le suivant, je cherchais un défi personnel. Après autant d’années passées dans les mêmes services on commence à fonctionner dans ses habitudes. Néanmoins j’avais la possibilité de continuer dans le judicaire et j’avais reçu des propositions intéressantes. Mais ma période où je me suis senti le plus épanoui c’est quand j’étais à la brigade, l’équivalent de la police de proximité. C’est pour cette raison que j’ai voulu devenir Chef de Corps. » Le choix d’Ath n’est pas anodin, il voulait retrouver une zone à dimension humaine et la zone Athoise lui donnait ses garanties. Un autre aspect a été aussi la proximité et le terrain. On sent chez l’homme la volonté de prendre le pouls de la population comme il le souligne « De plus, être le chef du corps d’une zone moins importante est que je devrai mettre la main à pâte et cela je l’apprécie fortement. » Quand nous lui demandons « Coup de poing ou dialogue » il nous répond ceci « Le dialogue d’abord mais si cela s’avère nécessaire il faut savoir faire le coup de poing. Nous en avons encore eu la preuve ce mercredi face aux évènements en face de notre bureau de police. Mais la priorité reste la communication. » Pour Fréderic Pettiaux ce job de commissaire divisionnaire sera aussi valorisant que d’être chef de la division de recherche anti-terroriste comme il nous l’explique « Vous savez le terrorisme, c’est quelque chose de spécialisé. J’ai rencontré des terroristes, j’ai parlé avec eux et je les ai interrogés. Bien sûr, c’est démarche utile pour la société et mais celle-ci est très restreinte et je crois que je servirai mieux la population en étant chef de corps d’une zone de police. » On le voit sous des airs d’Eliot Ness le commissaire Divisionnaire avait envie de rejouer un peu à Colombo. Une chose est sûre, les Athois n’ont pas de terrorisme du nom de Carlos et ni d’autres d’ailleurs et si cela devait arriver ils auront au moins Superman !

    Un CV qui parle de lui-même…

    Commissaire divisionnaire Pettiaux Frédéric, 45 ans, marié, 3 enfants, domicilié à Braine l’Alleud.

    ·                                 1984 à 1987 : diplôme d’infirmier gradué hospitalier.

    ·                                 1989 à 1990 : officier de réserve para-commando.

    ·                                 1990 à 1992 : licence en gestion hospitalière à l’ULB.

    ·                                 1990 à 1995 : infirmier en unité de soins intensifs chirurgicaux à l’hôpital Brugmann.

    ·                                 1993 : participation à deux missions humanitaires armées en tant que chef d’une unité de reconnaissance para-commando au Congo et en Somalie.

    ·                                 1995 à avril 1997 : élève officier à l’école royale de Gendarmerie.

    ·                                 1997 à juin 2000 : commandant en second de la brigade de Gendarmerie de Bruxelles.

    ·                                 2000 à avril 2001 : chef de la section ordre public et terrorisme de la BSR (Brigade de Surveillance et de Recherche) de Bruxelles.

    ·                                 2000 à septembre 2002 : en cumul de sa fonction d’officier BSR, responsable de la cellule de recherche en milieux périlleux du DVI (Disaster Victim Identification)

    ·                                 Octobre 2000 : mission DVI de recherche en milieu difficile (spéléologie) au Kosovo pour le compte du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie.

    ·                                 Avril 2001 (réforme des polices) : chef de la division de recherche anti-terroriste(DR3) de la PJF de Bruxelles. A ce titre, il a notamment coordonné les enquêtes découlant des attentats du 11 septembre 2001.

    ·                                 Depuis septembre 2002 : membre du service enquêtes du Comité P en tant qu’enquêteur judiciaire spécialisé.

    ·                                 Mars 2006 : membre d’Interpol Lyon avec le statut d’enquêteur, chargé de l’exécution d’une enquête interne.

    ·                                 Spécialiste en maîtrise de la violence avec et sans armes à feu.